Un bol d’Asie du Sud avec le NamastDay

Un bol d’Asie du Sud avec le NamastDay

Le lendemain même de l’épique bataille entre les listes BDE Undefined et le Direct, NamastEfrei, l’association de promotion des cultures sud-asiatiques, rêvait de faire une journée de plus de folie pour les efreiens. Une journée entière dédiée à la célébration de l’Asie du Sud, en collaboration avec de nombreuses assos. Ce mélange entre traditions étudiante et sud-asiatique a donné naissance au NamastDay, l’événement phare de NamastEfrei.

Petit déjeuner et déjeuner au NamastDay, l’activité préférée des français

Le jeudi 31 mars, c’est avec un petit déjeuner monstrueux que NamastEfrei ouvre le bal. 250 pains au chocolat, autant de croissants, 150 chaussons aux pommes et 50 pains aux raisins fraichement sortis de la boulangerie. En accompagnement, nous pouvions profiter de thé, de jus et de café. Un combo généreux de 800 pâtisseries qui a permis aux organisateurs de faire durer le plaisir jusqu’à 11h. Une stratégie sur la longueur qui a largement payé sur le plan digital car le profil Instagram de NamastEfrei a doublé pour atteindre 400 abonnés rien qu’en une journée !

En même temps, le restaurant Maihak préparait deux énormes casseroles de délicieux biryani, un plat sud-asiatique à base de riz, de viande et d’épices. Pendant que les étudiants venaient se servir au comptoir du hall Truong, parfois même deux fois, une playlist sud-asiatique ambiançait le campus grâce à une enceinte prêtée par Hifi-Lix. On ne sait pas encore si le rythme enivrant de la musique en est responsable, mais les deux casseroles ont été vidées en un éclair.

Les photos prises par EPS, qui illustrent cet article, ont permis d’immortaliser ces moments de partage. Un album photo est disponible sur leur site internet (connexion requise).

Pas moins de dix associations étaient de la partie

Car ces épisodes gustatifs avaient pour but de nous donner assez d’énergie pour ce qui allait suivre, les activités du NamastDay ne nous ont pas laissés en reste. Dix associations ont programmé leurs activités en K’fet dès 14h. La première d’entre elles, Kanon, était au taquet dès 10h. L’équipe avait organisé un atelier tissage de bracelets et création de pin’s, le tout aux couleurs du drapeau trans. Le rapport ? Le 31 mars coïncidait aussi avec la journée internationale de visibilité transgenre. De quoi faire d’une pierre deux coups.

ICE Efrei était aussi de la partie avec un atelier voyage en Asie du Sud, littéralement. L’équipe a ramené son plus beau casque HTC Vive pour faire vivre en RV les beautés des monuments comme le Taj Mahal avec Google Earth VR. Toujours côté high tech, Efrei 3D a sculpté des figurines d’éléphants avec une imprimante 3D, pour célébrer la mascotte de NamastEfrei.

Les personnes pour qui le petit dej’ et le biryani n’ont pas suffi ont été ravitaillées. Une ribambelle d’associations ont proposé un véritable buffet à volonté pour le plus grand bonheur de tout le monde :

  • Asian’Efrei a préparé des délicieuses brochettes de yakitori grillées à la sauce soja sucrée ;
  • Symbioz proposait des lassi à la banane, boisson à base de lait fermenté du sous-continent indien, aux gobelets mangeables et ne produisant donc pas de déchet à la dégustation ;
  • Breizh Efrei, tout nouveau sur le marché associatif, a concocté un stand de crêpes bretonnes ;
  • NamastEfrei en a aussi profité pour préparer des Falooda, une boisson sucrée à base de sirop de rose qui fait écho à leur stand pour la SoliWeek 2022.

On pouvait aussi compter sur la Taverne du Troll qui a sorti son plateau d’échecs pour l’occasion, le jeu classique dont on considère aujourd’hui les origines inspirées du Chaturanga, jeu indien mentionné dans les épopées indiennes classiques d’avant notre ère. Aero Efrei a aussi tenu à proposer son activité, avec un quiz sur l’aéronautique en Asie du Sud.

La jeune pousse qui a voulu fédérer toutes les associations pour le NamastDay

Car oui, tout ça a été l’initiative de NamastEfrei, qui dans une volonté de célébrer l’Asie du Sud, a réussi à impliquer autant d’assos. Elles qui au premier abord n’ont pas grand-chose à voir en termes de missions ont pourtant participé à cet événement. Si l’on doit le succès qu’a eu le NamastDay, c’est avant tout grâce aux membres des associations invitées ayant pris part à l’organisation. Ensemble, elles ont prouvé qu’aucune barrière n’est infranchissable quand il s’agit d’associations à l’Efrei.

Mais pendant que les assos se donnaient à cœur joie de faire profiter tout le monde à leur manière, NamastEfrei organisait aussi ses propres activités maison. À commencer par un quiz sud-asiatique en amphi E003 à 10h15. Les spécialistes de l’Asie du Sud ont pu briller sur notre Kahoot préféré et même remporter des lots.

Revenons dans la K’fet, juste à côté de la table de la Taverne, où nous pouvions jouer au Carrom, le billard indien. Un jeu en bois particulièrement apprécié des indiens et sri-lankais. Pour les plus créatifs en face, une bataille pour faire le plus beau Rangoli se déroulait dans la K’fet. À partir de poudres colorées, les indiennes dessinent des formes géométriques sur le sol qui donnent de belles rosaces protégeant les lieux et les personnes à l’intérieur.

On imagine difficilement l’Asie du Sud sans ses films Bollywoodiens et leurs scènes euphoriques de danse. Aankh Marey, musique originale du film Simmba, a fait vibrer pendant quelques instants les corps frivoles venus danser. Guidés par les chorégraphes de NamastEfrei, tout le monde pouvait prendre part à ce flash mob.

Enfin, vers 18h, la K’fet devait être débarrassée in-extremis pour laisser place à l’ouverture du bar par le Continental. Les membres de NamastEfrei se sont alors rejoints en amphi E003 pour effectuer la passation du bureau. Thanushan Appudurai, fondateur de NamastEfrei et ayant passé le flambeau ce jour-là à Rukshini Rasakumaran, croit avec ferveur dans le nouveau mandat, disant : « Donnez-vous à fond et vive NamastEfrei ! »

Retour sur l’Aromantic Spectrum Awareness Week de Kanon

Retour sur l’Aromantic Spectrum Awareness Week de Kanon

Le lundi 20 février débutait l’Aromantic Spectrum Awareness Week ou ASAW, une semaine de visibilité pour les personnes aromantiques, c’est-à-dire qui n’éprouvent pas ou peu d’attirance romantique pour autrui. Pour l’occasion, Kanon, l’association féministe et LGBTQIA+, a consacré un événement « Chamboule-tout » le jeudi 17 et vendredi 18 février. Une activité qui veut déglinguer notre perception de l’attirance.

Camille Mathieu, ayant co-fondé Kanon et qui a tenu à ce que cet événement se fasse (et accessoirement se définissant comme aromantique), nous raconte l’organisation de cette contre-soirée à une semaine de la Saint-Valentin, ainsi que les déboires que peuvent vivre les personnes aromantiques.

L’Aromantic Spectrum Awareness Week, faite maison

La semaine de visibilité du spectre aromantique ou ASAW, qui a volontairement lieu une semaine pile après le 14 février de la Saint-Valentin, a pour but de mettre en lumière l’aromantisme. Témoignages, activités et présentations ont lieu durant la semaine afin de comprendre ce que ressentent, ou non, les personnes aromantiques. Cette année, l’ASAW a eu lieu du 21 au 27 février. Camille et l’équipe de Kanon ont voulu célébrer ce contre-mouvement le jeudi 17 et vendredi 18 février, deux jours pas vraiment durant l’ASAW qui se rapprochent ironiquement de la Saint-Valentin. « Moi et quelques membres étions en vacances la semaine du 21 février, on a préféré faire ça avant« , justifie Camille.

À lire aussi : Sélection de films pour la St Valentin du Club Efr’Action

Les deux jours étaient consacrés à l’organisation d’un « Chamboule-tout« , un jeu de tir où le but est de faire tomber une pyramide de gobelets en carton. La Taverne du Troll leur a gentiment confié des pistolets Nerf en plastique. Des lots étaient d’ailleurs à gagner, offerts par l’asso. Du 21 au 27 février cependant, l’équipe de Kanon ne s’est pas reposée sur ses lauriers : publication sur l’aromantisme, témoignage d’une personne aromantique avec un trouble dissociatif de l’identité ainsi qu’une playlist concoctée pour les aromantiques.

« Nous voulons montrer ce que c’est que d’être aromantique dans un premier temps, mais aussi inviter nos amis efreien·nes à se poser des questions. Nous avons proposé de la documentation et des définitions car se connaître soi-même implique de se poser des questions au préalable« . C’est sur ces points que Camille a eu cœur d’instiguer l’événement, estimant que nous avons que très peu d’occasions de nous poser des questions sur nous-mêmes. « C’est pour moi une bonne réussite car les gens qui sont passés ont, je pense, compris ce que signifie d’être aromantique« , se félicite Camille.

Crever l’abcès sur l’aromantisme

Mais concrètement, comment les « aro » vivent leur quotidien dans une société très romantique ? « En tant qu’aromantique, j’ai l’impression qu’on me ment sans cesse ! Dans les films et séries, on nous parle d’amour qui rend aveugle, de papillons dans le ventre, de coup de foudre au premier regard… Tout ça me paraît tellement éloigné de ma propre perception des choses » nous confie Camille.

Des œuvres parlant ouvertement d’aromantisme existent pourtant. « J’ai entendu parler de Loveless d’Alice Oseman mais je ne l’ai pas encore lu personnellement. Concernant les musiques, Never Been in Love de Will Jay est un hymne à l’aromantisme, et Soulmate de Lizzo parle de l’amour de soi-même avant celui des autres. »

Quand il s’agit d’expériences sociales, Camille peut parfois se sentir à l’écart. « Pour l’instant, je ne connais qu’une personne aromantique de l’Efrei, mais je ne vais pas voir des gens et leur demander ça« .

L’inverse est cependant plus fréquent. « J’ai vécu de nombreux moments avec des personnes qui ne comprennent pas la définition de l’aromantisme. Je suis jamais sûre s’ils essayent de flirter ou si c’est juste de la sympathie. Quand j’essaye de leur expliquer que je ne ressens pas d’attirance pour eux, ils peuvent le prendre mal en ne comprenant pas ce qui me définit. Ça se sentait qu’ils ne croyaient pas en ce que je leur racontait. Heureusement, je n’ai pas vécu de moment où certaines limites auraient été franchies.« 

Prendre le temps de comprendre l’autre

Malgré l’Aromantic Awareness Spectrum Week, de nombreux préjugés persistent, en dépit aussi du bon-vouloir des personnes aromantiques de leur expliquer ce qu’elles ressentent. « Les gens essayent de rationaliser, disant que je suis trop jeune, que c’est parce-que je n’ai pas connu l’amour, ou tout simplement que c’est pas possible que je n’aie pas de sentiment amoureux car c’est humain. Mais c’est faux, nous sommes humains. C’est un type d’attirance comme un autre qui n’a rien à voir avec nos rapports sociaux. »

Camille insiste : une personne aromantique n’est pas une personne asexuelle. Le premier concerne l’absence de sentiment amoureux pour une personne tandis que l’autre désigne l’absence d’attirance sexuelle. Pas de bisous pour les uns, et pas de pan-pan pour les autres, en gros.

Il est tout à fait possible de sortir avec une personne aromantique. « L’absence de sentiment amoureux n’est pas un obstacle aux autres attirances, qu’elles soient sexuelle ou platonique. Mais il ne faut pas s’attendre à avoir un amour réciproque avec quelqu’un d’aro« .

C’est aussi un aspect qui se retrouve dans le drapeau même des personnes aromantiques. « Les deux teintes de vert représentent le spectre de l’aromantisme en tant que tel, le blanc représente les attirances platonique et esthétique dont l’amitié, et le gris et le noir représentent le spectre de la sexualité qui n’est en rien décorrélé de l’aromantisme« .

Camille, actuellement en M2 du Programme Grande École (PGE), s’envole vers le monde du travail dès l’année prochaine. « Nous avons prévu un calendrier avec les grandes dates des causes LGBTQI+ et féministes. J’espère que les prochains membres de Kanon pourront profiter de l’élan d’engouement pour notre asso et proposer toujours plus d’activités autour de ces dates. »

Club Efr’Action : sélection pour la St Valentin

Club Efr’Action : sélection pour la St Valentin

Durant la semaine, le club Efr’Action a partagé quelques films Saint Valentin pour nous faire tomber tomber dans les bras du septième art. Un article écrit par l’équipe Efr’Action

En cette période de Saint Valentin, que vous soyez seul ou avec votre moitié, vous vous ennuyez très certainement. Ne vous inquiétez pas, le cinéma peut vous proposer un genre très codé et souvent moqué (à tort) de nos jours : la romance. C’est un genre à part entière qui pourra vous proposer tous les types d’émotions : la tristesse, la joie, le rire, et bien d’autres encore. Certains films vont même vous rendre nostalgique d’un moment que vous n’avez pas vécu (eh oui, ils sont très fort ces réalisateurs). Si vous allez sur Netflix ou sur tous autre site de streaming, vous allez vite être noyé sous la quantité astronomique de films. Pas de problème ! Efr’Action et sa communauté sont là pour vous aider à faire le bon choix selon vos envies. Nous vous proposons donc une sélection des meilleurs films de la Saint Valentin, soigneusement sélectionnés par nos plus grands experts. 

Tout d’abord, commençons par les classiques, ces films à voir absolument et même à redécouvrir avec plaisir. Dans cette catégorie, nous avons tout d’abord Grease. Cette comédie musicale de 1978 raconte l’histoire de Sandy, jeune fille sérieuse, qui arrive dans un nouveau lycée où elle y retrouve par hasard son amour d’été Danny Zuko, le chef de la bande des T-birds. En parallèle de cette histoire d’amour, nous suivons la rivalité des T-birds et du gang ennemi les Scorpions. Parfait pour tous les fans de comédie musicale et des histoires d’amour où les deux protagonistes appartiennent à des mondes opposés.  

Affiches des films Grease et Dirty Dancing

Film de danse cette fois : Dirty Dancing. Cette romance raconte l’histoire d’amour de Bébé, jeune fille sage passant des vacances en famille, avec Johnny un des animateurs du camp de vacances et professeur de danse. Ne laissez pas bébé dans un coin et tentez le fameux « porté » avec votre valentin ou votre valentine.  

Ensuite, nous vous recommandons Love Actually. Cette romance de 2003 présente les différents aspects de l’amour à la veille de Noël avec 10 histoires d’amour et un casting 5 étoiles : Hugh Grant, Colin Firth, Keira Knightley, Alan Rickman ou encore Thomas Brodie-Sangster.  

Autre classique, cette fois avec Kate Winslet et Leonardo DiCaprio : Titanic, ce drame romantique n’est plus à présenter tellement il est célèbre.  

La fameuse scène

Un autre classique français avec Romain Duris et Vanessa Paradis : l’Arnacoeur. Votre meilleure amie est en couple, malheureuse mais ne veut pas se l’avouer ? Pour l’aider appelez Alex Lipi. Son métier : briser son couple. Son but : lui ouvrir les yeux. Sa méthode : la séduction. Il brise les couples jamais les cœurs. Aucune mission ne lui a jamais résisté, mais Juliette est plus coriace saura-t-elle lui résister ? 

Eternal Sunshine of the Spotless Mind : Ce grand classique du cinéma ne vous est sûrement pas inconnu (ou si c’est le cas, vous êtes des incultes). Derrière ce long métrage à rallonge se trouve un magnifique drame romantique qui met en scène Joe (interprété pat le fameux Jim Carrey) dans un monde où il est possible d’effacer tous ses souvenirs concernant une personne. Ce film aura réussi à faire fondre les plus gros cœur de pierre. Alors pourquoi ne pas vous laissez tenter ? 

Your Name : voici le seul animé de la liste (et oui, nous sommes avant tout un club de cinéma, mais certains de nos membres ont une faiblesse pour l’animation japonaise). « Your Name » est considéré par beaucoup comme le meilleur animé romantique de sa génération. C’est un drame romantique qui mêle imagination, rêves, tragédie, relation passionnelle. Nos deux personnages Mitsuha et Taki vous évoluer à travers une atmosphère enchanteresse et haute en couleur. Ce film va vraiment vous remonter le moral et vous allez être touché par ces deux personnages.  

Pour finir sur les classique nous vous proposons Quatre Mariages et Un Enterrement. Ce film narre les aventures d’un groupe d’amis à travers les yeux de Charles, un jeune Anglais obnubilé par Carrie, une Américaine très attirante qu’il rencontre régulièrement lors de quatre mariages successifset d’un enterrement en Grande-Bretagne. 

Les films Saint Valentin pour adolescents

Vous avez déjà vu tous les classiques et vous cherchez quelque chose de différent ? Voilà nos recommandations pour les comédies romantiques pour adolescents.  

En premier, nous avons Lol. Bonne nouvelle il existe en deux versions : Lol, film français, et Lol USA avec Miley Cyrus. On suit la vie de Lola alias Lol une lycéenne. Entre amour, amitié et relation tendue avec sa mère, Lola a une vie bien chargée. 

Ensuite, pour les fans de Cendrillon, vous avez les films Comme Cendrillon et là encore vous avez le choix car il en existe 6. Ils ont tous en commun de reprendre l’histoire de Cendrillon en l’adaptant aux temps modernes.  

Nous vous conseillons également : À Tous les Garçons que j’ai Aimés. Lara Jean, lycéenne américaine un peu rêveuse, a pris pour habitude d’écrire une lettre d’amour à chaque fois qu’elle ait un coup de cœur amoureux. Elle a toujours gardé ces lettres précieusement, préférant s’imaginer la relation idéale plutôt que d’avouer ses sentiments. Mais que se passera-t-il si toutes les lettres étaient envoyées, surtout si l’une d’entre elles était destinée au petit ami de sa sœur ?  

Ensuite, nous avons 10 Bonnes Raisons de te Larguer. C’est l’histoire de deux sœurs diamétralement opposées : Bianca, star du lycée, et Kat, un peu garçon manqué. Leur père surprotecteur invente une règle pour empêcher Bianca de sortir avec des garçons : elle ne pourra le faire si et seulement si sa sœur sort avec un garçon. Que cela ne tienne, Bianca fera tout pour faire tomber sa sœur amoureuse d’un garçon capable de la supporter. 

After : Depuis son plus jeune âge, Tessa Young est promise à un avenir tout tracé : une vie rangée, une brillante carrière, un mariage tranquille avec son petit ami de toujours. Jusqu’à sa rencontre avec Hardin Scott à son arrivée à l’université. Grossier, provocateur, cruel, c’est le garçon le plus détestable qu’elle ait jamais croisé. Et pourtant, ce bad boy tatoué pourrait bien lui faire perdre tout contrôle… 

La vie d’Adèle : Si vous faites partie de l’association Kanon de l’Efrei, ce film est fait pour vous ! Ce chef d’œuvre français met en scène la vie d’Adèle et de Emma. Deux jeunes lycéennes qui se posent des questions sur leurs sexualités. C’est un magnifique film romantique qui va décrire la relation passionnelle que vont vivre nos deux jeunes protagonistes. À travers ces deux adolescentes le film va soulever tous les problèmes et les questionnements que doivent confronter les jeunes au collège (pression, désir, amour etc…).  

Pour finir, une comédie romantique triste : Nos étoiles contraires, le film, tiré d’un roman à succès, raconte l’histoire d’amour entre Hazel Grace et Gus rencontrés à un groupe de soutien des malades du cancer.  

Les romances pour adolescentes ne sont pas pour vous et vous préférez les comédies romantique feel good avec un personnage principal adulte ? 

Alors voici les films que nous vous recommandons. Tout d’abord, 13 going on 30 : Jenna fête ses 13 ans mais rêve d’en avoir 30. Le lendemain de sa fête d’anniversaire catastrophique, elle se réveille en ayant 30 ans et tout ce dont elle rêve. Mais toutes ses choses sont-elles vraiment ce qu’elle désire ?  

Enfin, Hitch, Expert en Séduction avec Will Smith (gros argument pour regarder ce film), aide les garçons timides à séduire la fille de leurs rêves. C’est en aidant Albert que Hitch rencontrera Sarra, une journaliste, dont il tombera amoureux.  

Le coeur d’une femme est un océan de secrets

Rose, Titanic
Saint Valentin : Livraison des roses

Saint Valentin : Livraison des roses

Aaah, le 14 février, célébration de nos chers Valentins à travers le monde mais aussi de la journée de l’amour, la Saint Valentin ❤️❤️❤️ Tandis que certains passaient cette journée en bonne compagnie, que ce soit avec leur bien-aimé ou avec les surveillants pour des partiels, d’autres ont interprété en ce jour Cupidon pour aider les plus timides souhaitant déclarer leur flamme à leur Valentin ou leur Valentine. Les quelques membres du BDE Aftermath ayant endossé ce rôle sacré ont pour ainsi dire fait battre nos cœurs

Le matin du lundi 14 février, les atomes du BDE Aftermath étaient en ébullition. Les membres se pressaient pour terminer d’écrire et d’imprimer la cinquantaine de lettres de Saint Valentin restantes, pour la plupart anonymes. Certaines assumaient d’être du troll, d’autres prenaient un aspect bien plus romantique. Ce sont 333 lettres et 300 roses qui ont été distribués en ce jour à des heureuses personnes, en témoignent les « rayaya » et diverses autres exclamations.

Ce n’est pas la première fois que le BDE distribue des roses pour la Saint Valentin, et ce ne sera pas la dernière. Cet événement 100% BDE a évidemment été préparé bien en avance. Bien que le concept rappelle celui de EAH et de la distribution des roses pour la Journée des Droits des Femmes, les deux associations se sont accordées pour ne pas avoir la même couleur de fleurs. Ce sont donc les roses blanches du BDE qui ont fait particulièrement plaisir à leurs destinataires.

L'équipe du BDE prépare les enveloppes pour la Saint Valentin
Les membres du BDE à 9h lors des premières livraisons

Des lettres scellées à la cire pour la Saint Valentin

Un procédé qui semble-t-il fait particulièrement plaisir aux efreiens est le cachetage des enveloppes. Il valait mieux en profiter une fois l’envelope finie du fait de l’odeur désagréable de la cire chauffée embaumant le local. Une attention toute particulière mais systématique à toutes les lettres à laquelle s’ajoute les quelques demandes particulières comme une écriture faire main, des petits dessins « romantiques » ou des lettres en forme de cœur. Vous remarquerez peut-être, si vous avez reçu une enveloppe, un poinçon en forme de nœud, pour dire que cette lettre doit être accompagnée d’une des précieuses roses. Des petits détails qui ont participé à rendre la démarche victime de son succès.

La distribution, bien que très organisée, a connu quelques déboires quand des destinataires n’étaient pas présents ce jour ou quand leur salle n’était pas mentionnée. Dans ces cas, le BDE garde les lettres d’amour bien au chaud dans leur local, à venir récupérer par les anonymes pour tenter de conclure une bonne fois pour toutes à visage découvert. Ou bien les destinataires, à voir selon les disponibilités, mais pas trop tard pour que les roses ne se fanent pas.

Carla et Soazic se préparent à livrer les roses

Pour rappel, les élections du BDE se feront du 28 au 30 mars. Deux jours de folie pour lesquels il faudra être patient, mais BDE Aftermath a déjà prévu de quoi faire patienter.

Focus sur Action contre la Faim

Focus sur Action contre la Faim

Comme chaque année, les organisateurs (nos chers Zerator et Dach) ont choisi une association précise à laquelle la cagnotte finale sera versée. Un choix toujours difficile selon Zerator puisque de très nombreuses associations mériteraient qu’on leur dédie une édition. Cette année, il s’agit d’une association qui suit l’événement caritatif de près depuis les premières éditions et avait manifesté son désir de participer depuis longtemps : Action contre la Faim. Lucie Codiasse, directrice de la communication et du développement, était présente au ZEvent cette année pour participer à la désormais traditionnelle discussion avec Zerator qui vise à présenter l’association et son action.

Qui ça ?

Action contre la Faim (ACF) est une organisation loi 1901, une ONG humanitaire. A sa création par un groupe d’intellectuels en 1979, l’idée était de se concentrer spécifiquement sur le problème de la faim qui était autrefois inclus dans des actions plus globales (lutte contre la pauvreté ou la santé).

Nota bene : cet article a été présenté dans le projet du numéro 124

L’association a eu pour première mission de venir en aide à des réfugiés afghans au Pakistan lors des débuts de la guerre d’Afghanistan. Depuis, de nombreuses missions d’importance ont été menées en Thaïlande, en Ethiopie, au Rwanda, au Kosovo, en Irak et beaucoup d’autres, et ACF est désormais active dans plus de 50 pays.

Leur action se concentre sur plusieurs domaines liés de près ou de loin à la sous-nutrition. L’objectif premier est d’éliminer la « faim », en agissant directement sur le terrain, dans l’urgence mais également en faisant de la prévention.

Le problème de la faim dans le monde

Quelques chiffres clés : aujourd’hui, près de 811 millions de personnes dans le monde ne mangent pas à leur faim, soit 10% de la population mondiale. Sur cela, 14 millions d’enfants dans le monde souffrent de malnutrition aigüe sévère, la plus grave forme de malnutrition. On dit qu’un enfant meurt de malnutrition toutes les 13 secondes, ce qu’il est difficile de se représenter.

Mais pourquoi ? Comment en arrive-t-on à ce que des régions, voire des pays entiers en arrivent au niveau de la famine ? On peut séparer les causes en trois raisons majeures.

Premièrement, les guerres : près de 60% des gens souffrant de la faim en sont là à cause de ça. Dans de nombreuses zones de conflit, les habitants perdent l’accès aux ressources qui leur permettaient de survivre ; ces ressources sont même parfois prises directement pour cible par des groupes armés. D’autre part, beaucoup perdent leur métier, dans des régions où même une très faible source de revenus peut faire la différence pour survivre.

Ensuite vient la crise climatique, qui entraîne des conséquences bien réelles. Le sud de Madagascar est actuellement en train de vivre la pire sécheresse connue depuis 40 ans, ce qui exerce une influence terrible notamment sur l’agriculture (des tempêtes déplacent par exemple plusieurs centimètres de sables au-dessus de parcelles de terres qui étaient autrefois des champs cultivés).

Enfin, les crises économiques apportent également leur grain de sel à tout cela.

D’autres raisons sont bien sûr à mettre en cause, comme la crise sanitaire du covid (il devient pénible, celui-là) qui est à l’origine d’une augmentation de 20% de personnes qui connaissent la faim entre 2019 et 2020. C’est le même problème que pour les conflits, ces gens à la situation déjà très précaire se sont vu rajouter une couche de problèmes ; nombre d’entre eux ont perdu leur unique source de revenus et ne peuvent désormais plus subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs familles.

L’action contre la faim

Ces chiffres lourds rendent l’action de ACF complexe et il est impossible avec leurs moyens (déjà pourtant colossaux) de résoudre tous les maux du monde, mais l’association fournit tout de même une aide considérable.

« C’est un problème complexe qui ne se limite pas « juste » à donner à manger aux gens », soutient Lucie. Il y a deux angles d’attaque : le côté immédiat, et l’après.

L’immédiat, car ils sont exposés quotidiennement à des personnes souffrant de malnutrition grave. Dans l’urgence, il faut agir vite et de sauver des vies, ce qu’ils font notamment à l’aide de cliniques mobiles, et de paquets de RUTFs (ready-to-use therapeutic food). Il s’agit d’une pâte à base de cacahuète, un dérivé du lait thérapeutique en poudre F-75 et F-100, initialement développé par le comité scientifique d’ACF dans les années 90, puis plus largement adopté par la plupart des associations d’aides humanitaires. Cette pâte sert à la fois à nourrir et à soigner en réhabituant l’organisme à un certain nombre de manques (protéines, graisses, glucides, …). Sur 14 millions d’enfants en malnutrition aigüe sévère, environ 700 000 (soit 5%) sont soignés par ACF notamment avec cette pâte !

Et l’après, parce qu’il faut assurément aussi traiter les causes de la malnutrition, sans quoi elle reviendrait une fois les équipes d’ACF parties. Un de leurs objectifs est donc de fournir un accès à l’eau potable, un bon système d’hygiène, et de s’assurer que les familles ont les moyens d’avoir de la nourriture en quantités et en qualité suffisante. Ils donnent également des formations dans les centres de santé, pour que les mères de famille et les référents communautaires soient autonomes et puissent prendre soin de leurs enfants.

ACF agit aussi dans une certaine mesure sur la santé mentale. Par exemple, lors de missions récentes en Irak, ils ont apporté une aide d’urgence dans des villages récemment libérés de l’emprise de groupes terroristes, à des populations sujettes à des chocs traumatiques (ce qui n’est évidemment pas rare dans ce genre de climat violent et peu sécurisé). Au-delà de l’aide humanitaire directe et du côté éducatif, un accompagnement psychologique est aussi important pour aider les concernés à se remettre sur pieds et à surmonter la crise qui les touche. L’un des buts derrière ce genre d’action est aussi de comprendre l’humain et ses comportements dans ce genre de situation pour peut-être aider à prévenir la sous-nutrition, par exemple avec un meilleur accompagnement des femmes enceintes et des très jeunes enfants.

Les lieux d’intervention sont prioritisés selon les besoins sur le terrain, la possibilité qu’à ACF d’intervenir (parfois complexe en zone de conflits ou à accès restreint), le niveau de danger, les installations déjà existantes, etc. Ces décisions sont souvent prises en collaboration avec d’autres ONG, à l’aide d’un bureau de coordination de l’ONU.

L’association est aussi active en France, principalement au travers de la sensibilisation des jeunes au problème de la faim dans le monde. Dans l’enseignement primaire, collèges et lycées, c’est ainsi à 300 000 jeunes que s’adresse de nombreux bénévoles de l’association. En 2020, ACF a également lancé une « mission France » dans le contexte de la crise covid, à la suite, entre autres, d’une augmentation du nombre de demandeurs d’aide alimentaire de deux millions de personnes. ACF a proposé un accompagnement technique à des acteurs déjà présents comme les Restos du Cœur et l’Armée du Salut, en aidant par exemple à identifier les demandeurs et en proposant des solutions pour les aider.

Utilisation de la cagnotte du ZEvent

« Nous, on avait fait des projections, mais pas sur 10 millions, parce qu’on ne s’y attendait pas du tout. »

Afin de se donner un ordre d’idée, notons qu’Action contre la Faim reçoit des fonds de bailleurs publics (des états ou organisations internationales comme UNICEF, qui représentent 85% des fonds) et des ressources privées (15% de donations de particuliers ou d’entreprises). Les 10 millions d’euros récoltés durant l’événement correspondent au pourcentage considérable de 25% des ressources privées d’ACF. En un week-end seulement donc, les streamers du ZEvent ont levé l’équivalent de ce que reçoit habituellement ACF en trois mois de donations privées !

Comment sera utilisé cette somme colossale ? ACF s’engage à utiliser l’intégralité de ce montant sur le terrain. Ce qui n’est pas toujours le cas : il faut en effet savoir qu’une organisation de cette taille dispose toujours de fonds de réserves, dans un souci de gestion stratégique de l’argent. Ces réserves peuvent servir notamment à réagir en cas d’urgence comme une catastrophe écologique ou une crise sanitaire ; par exemple, une partie de leurs réserves a été utilisée pour créer la « mission France » à la suite de la crise du covid. Ils ont donc pu, grâce à ces réserves, réagir immédiatement, sans devoir attendre de financement public ou provenant de donateurs privés. Ces réserves ont également d’autres utilités qui sont d’ailleurs similaires aux besoins d’autres grandes entreprises (rappelons qu’ACF, c’est environ 8000 salariés partout dans le monde). Plus de détails sont disponibles sur leur site internet, dans les documents mis à la disposition du public dans une optique de transparence financière (si vous êtes en manque de Gestion Financière, on y retrouve des bilans comptables et des comptes de résultats). Pour autant, ACF sont fiers d’affirmer que 90% de leurs fonds partent directement dans leurs missions sociales, ce qui est l’un des meilleurs taux parmi les organisations humanitaires de France.

Dans notre cas, ces 10 millions (comprenant donc la cagnotte Efrei !) seront directement utilisés sur le terrain. Notamment dans un certain nombre de dépenses matérielles et logistiques, et également dans les salaires des employés d’ACF (qui sont d’ailleurs en immense majorité, à 95%, des habitants locaux, une autre grande fierté de l’association !). Mais aussi dans ce qu’on appelle les « crises oubliées » : il s’agit de situations complexes, en manque de financement par les bailleurs publics (états et organisations internationales) et dont on ne parle pas du tout dans les médias. Lucie cite l’exemple de la République centrafricaine, qui est l’un des pays les plus pauvres du monde, dans lequel plus de la moitié des habitants ont besoin d’aides humanitaires pour survivre (au-delà de la faim, en termes de soins, de services de base, d’hygiène, …) mais où seulement 60% des besoins de financement sont couverts. Le centre pédiatrique de Bangui, le seul de la ville d’une telle capacité, soigne 3500 enfants chaque année et sert également d’hôpital universitaire, mais ne reçoit pourtant plus de fonds publics depuis l’année dernière. Une partie de la cagnotte du ZEvent va donc permettre de financer cet hôpital pendant au moins un an de plus !

Une invitation a d’ailleurs été lancée à Zerator et Dach pour qu’ils se rendent sur place afin de rendre compte en vidéo de la réalité sur le terrain et de l’impact de l’événement. A voir dans les prochains mois !

Florian raconte son initiation au parachutisme

Florian raconte son initiation au parachutisme

EFREI Para organise régulièrement des weekends d’initiation au parachutisme. Florian Marques, loin d’avoir eu la meilleure expérience avec les hauteurs, a décidé de faire du parachutisme… Mais pas sans une initiation digne de ce nom.

Post-scriptum : Florian a depuis réalisé son premier saut en parachute

Le weekend du 3-4 octobre 2020 était, pour une dizaine d’efreiens, dédié au parachutisme. Efrei Para, grâce à son partenariat avec l’ASPU (Association Sportive de Parachutisme Universitaire), a réussi à préparer un weekend d’initiation au parachutisme entre deux confinements.

Florian Marques a connu EFREI Para lors du forum des associations, l’année dernière. Un étudiant pliait son parachute, et a attisé la curiosité de Florian. Celui-ci avait jusque-là seulement fait du saut à l’élastique.

Florian porte la chouette Efrei pour son initiation © Florian Marques Audrey MATZINGER

N’ayant jamais pris l’avion (il est en alternance, il n’a donc pas fait l’immersion de L3), Florian avait quelques appréhensions du vide. Son saut à l’élastique qu’il avait fait deux ans auparavant, de son côté, était un peu effrayant. Le système était rafistolé au scotch : pas de quoi être vraiment rassuré. Heureusement, il n’a rien eu ; mais c’est grâce à cette expérience qu’il a su à quel point le saut en parachute était beaucoup + encadré que le saut à l’élastique.

Une grue m’avait tracté dans les hauteurs de Paris. J’avais vraiment très peur, donc une fois en haut j’avais fermé les yeux. Je me suis donc dit que je devais refaire une expérience similaire, et cette fois, avoir la chance de regarder le paysage qui m’entoure.

Florian Marques

Deux jours pour se préparer à toutes les éventualités

Le soir du vendredi 2 octobre, ces courageuses personnes se sont rejoints Porte de Pantin, au nord de Paris, pour partir à Maubeuge. Une fois arrivés à destination, c’était repos. Le samedi dans la matinée, il fallait être au taquet.

Les entraînements se sont faits grâce à l’avion sur place © Florian Marques

De 8h à 17h, les efreiens ont découvert les mécanismes du parachutisme, les choses à éviter, les procédures de secours et les joies de s’entraîner au grand saut dans un hangar.

On a simulé la sortie de l’avion et un déploiement de parachute. Si la voile n’était pas bien en place, on nous a appris à se sortir de cette situation et les procédures de secours si cet incident devait arriver.

Florian Marques

Pour son premier saut, Florian aura droit à un déploiement automatique de la voile grâce à une sangle attachée à l’avion. Aucun risque, donc, d’oublier de l’ouvrir (si jamais ça devait arriver !)

Le président de l’ASPU l’a bien mis à l’aise. Ses explications étaient claires, sa formation l’a bien préparé, et son équipe avait toujours les réponses à ses questions.

Le cours et les simulations ont été très rassurants. L’équipe est vraiment cool, et ça m’a permis de ne pas paniquer.

Florian Marques

Jamais deux annulations sans trois

Florian avait déjà prévu de sauter, en avril dernier. Malheureusement, le confinement est tombé. « Ça m’avait bien soûlé, je voulais vraiment y retourner » nous dit-il.

Après le weekend d’initiation, le weekend du 24-25 octobre devait marquer (enfin) son premier saut en parachute. Manque de chance, les conditions météorologiques n’assuraient pas la sécurité des sauteurs. Malheureusement, le confinement a fait son grand retour entre temps, et son saut devra de nouveau être repoussé.

Malgré tout, celui-ci se dit prêt à sauter, et n’a pas peur que la date fatidique soit repoussée. Il rassure : « Il ne faut pas avoir peur de sauter, car les problèmes arrivent généralement quand quelqu’un a un excès de confiance et fait n’importe-quoi. » Avis aux amateurs !

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