Le lendemain même de l’épique bataille entre les listes BDE Undefined et le Direct, NamastEfrei, l’association de promotion des cultures sud-asiatiques, rêvait de faire une journée de plus de folie pour les efreiens. Une journée entière dédiée à la célébration de l’Asie du Sud, en collaboration avec de nombreuses assos. Ce mélange entre traditions étudiante et sud-asiatique a donné naissance au NamastDay, l’événement phare de NamastEfrei.
Petit déjeuner et déjeuner au NamastDay, l’activité préférée des français
Le jeudi 31 mars, c’est avec un petit déjeuner monstrueux que NamastEfrei ouvre le bal. 250 pains au chocolat, autant de croissants, 150 chaussons aux pommes et 50 pains aux raisins fraichement sortis de la boulangerie. En accompagnement, nous pouvions profiter de thé, de jus et de café. Un combo généreux de 800 pâtisseries qui a permis aux organisateurs de faire durer le plaisir jusqu’à 11h. Une stratégie sur la longueur qui a largement payé sur le plan digital car le profil Instagram de NamastEfrei a doublé pour atteindre 400 abonnés rien qu’en une journée !
En même temps, le restaurant Maihak préparait deux énormes casseroles de délicieux biryani, un plat sud-asiatique à base de riz, de viande et d’épices. Pendant que les étudiants venaient se servir au comptoir du hall Truong, parfois même deux fois, une playlist sud-asiatique ambiançait le campus grâce à une enceinte prêtée par Hifi-Lix. On ne sait pas encore si le rythme enivrant de la musique en est responsable, mais les deux casseroles ont été vidées en un éclair.
Pas moins de dix associations étaient de la partie
Car ces épisodes gustatifs avaient pour but de nous donner assez d’énergie pour ce qui allait suivre, les activités du NamastDay ne nous ont pas laissés en reste. Dix associations ont programmé leurs activités en K’fet dès 14h. La première d’entre elles, Kanon, était au taquet dès 10h. L’équipe avait organisé un atelier tissage de bracelets et création de pin’s, le tout aux couleurs du drapeau trans. Le rapport ? Le 31 mars coïncidait aussi avec la journée internationale de visibilité transgenre. De quoi faire d’une pierre deux coups.
ICE Efrei était aussi de la partie avec un atelier voyage en Asie du Sud, littéralement. L’équipe a ramené son plus beau casque HTC Vive pour faire vivre en RV les beautés des monuments comme le Taj Mahal avec Google Earth VR. Toujours côté high tech, Efrei 3D a sculpté des figurines d’éléphants avec une imprimante 3D, pour célébrer la mascotte de NamastEfrei.
Crêpes de Breizh’EfreiAtelier VR de ICE EfreiAtelier rangoliQuelques-unes des nombreuses activités proposées par les assos au NamastDay
Les personnes pour qui le petit dej’ et le biryani n’ont pas suffi ont été ravitaillées. Une ribambelle d’associations ont proposé un véritable buffet à volonté pour le plus grand bonheur de tout le monde :
Asian’Efrei a préparé des délicieuses brochettes de yakitori grillées à la sauce soja sucrée ;
Symbioz proposait des lassi à la banane, boisson à base de lait fermenté du sous-continent indien, aux gobelets mangeables et ne produisant donc pas de déchet à la dégustation ;
Breizh Efrei, tout nouveau sur le marché associatif, a concocté un stand de crêpes bretonnes ;
NamastEfrei en a aussi profité pour préparer des Falooda, une boisson sucrée à base de sirop de rose qui fait écho à leur stand pour la SoliWeek 2022.
On pouvait aussi compter sur la Taverne du Troll qui a sorti son plateau d’échecs pour l’occasion, le jeu classique dont on considère aujourd’hui les origines inspirées du Chaturanga, jeu indien mentionné dans les épopées indiennes classiques d’avant notre ère. Aero Efrei a aussi tenu à proposer son activité, avec un quiz sur l’aéronautique en Asie du Sud.
La jeune pousse qui a voulu fédérer toutes les associations pour le NamastDay
Car oui, tout ça a été l’initiative de NamastEfrei, qui dans une volonté de célébrer l’Asie du Sud, a réussi à impliquer autant d’assos. Elles qui au premier abord n’ont pas grand-chose à voir en termes de missions ont pourtant participé à cet événement. Si l’on doit le succès qu’a eu le NamastDay, c’est avant tout grâce aux membres des associations invitées ayant pris part à l’organisation. Ensemble, elles ont prouvé qu’aucune barrière n’est infranchissable quand il s’agit d’associations à l’Efrei.
Mais pendant que les assos se donnaient à cœur joie de faire profiter tout le monde à leur manière, NamastEfrei organisait aussi ses propres activités maison. À commencer par un quiz sud-asiatique en amphi E003 à 10h15. Les spécialistes de l’Asie du Sud ont pu briller sur notre Kahoot préféré et même remporter des lots.
Revenons dans la K’fet, juste à côté de la table de la Taverne, où nous pouvions jouer au Carrom, le billard indien. Un jeu en bois particulièrement apprécié des indiens et sri-lankais. Pour les plus créatifs en face, une bataille pour faire le plus beau Rangoli se déroulait dans la K’fet. À partir de poudres colorées, les indiennes dessinent des formes géométriques sur le sol qui donnent de belles rosaces protégeant les lieux et les personnes à l’intérieur.
On imagine difficilement l’Asie du Sud sans ses films Bollywoodiens et leurs scènes euphoriques de danse. Aankh Marey, musique originale du film Simmba, a fait vibrer pendant quelques instants les corps frivoles venus danser. Guidés par les chorégraphes de NamastEfrei, tout le monde pouvait prendre part à ce flash mob.
Enfin, vers 18h, la K’fet devait être débarrassée in-extremis pour laisser place à l’ouverture du bar par le Continental. Les membres de NamastEfrei se sont alors rejoints en amphi E003 pour effectuer la passation du bureau. Thanushan Appudurai, fondateur de NamastEfrei et ayant passé le flambeau ce jour-là à Rukshini Rasakumaran, croit avec ferveur dans le nouveau mandat, disant : « Donnez-vous à fond et vive NamastEfrei ! »
Le lundi 20 février débutait l’Aromantic Spectrum Awareness Week ou ASAW, une semaine de visibilité pour les personnes aromantiques, c’est-à-dire qui n’éprouvent pas ou peu d’attirance romantique pour autrui. Pour l’occasion, Kanon, l’association féministe et LGBTQIA+, a consacré un événement « Chamboule-tout » le jeudi 17 et vendredi 18 février. Une activité qui veut déglinguer notre perception de l’attirance.
Camille Mathieu, ayant co-fondé Kanon et qui a tenu à ce que cet événement se fasse (et accessoirement se définissant comme aromantique), nous raconte l’organisation de cette contre-soirée à une semaine de la Saint-Valentin, ainsi que les déboires que peuvent vivre les personnes aromantiques.
L’Aromantic Spectrum Awareness Week, faite maison
La semaine de visibilité du spectre aromantique ou ASAW, qui a volontairement lieu une semaine pile après le 14 février de la Saint-Valentin, a pour but de mettre en lumière l’aromantisme. Témoignages, activités et présentations ont lieu durant la semaine afin de comprendre ce que ressentent, ou non, les personnes aromantiques. Cette année, l’ASAW a eu lieu du 21 au 27 février. Camille et l’équipe de Kanon ont voulu célébrer ce contre-mouvement le jeudi 17 et vendredi 18 février, deux jours pas vraiment durant l’ASAW qui se rapprochent ironiquement de la Saint-Valentin. « Moi et quelques membres étions en vacances la semaine du 21 février, on a préféré faire ça avant« , justifie Camille.
Les deux jours étaient consacrés à l’organisation d’un « Chamboule-tout« , un jeu de tir où le but est de faire tomber une pyramide de gobelets en carton. La Taverne du Troll leur a gentiment confié des pistolets Nerf en plastique. Des lots étaient d’ailleurs à gagner, offerts par l’asso. Du 21 au 27 février cependant, l’équipe de Kanon ne s’est pas reposée sur ses lauriers : publication sur l’aromantisme, témoignage d’une personne aromantique avec un trouble dissociatif de l’identité ainsi qu’une playlist concoctée pour les aromantiques.
« Nous voulons montrer ce que c’est que d’être aromantique dans un premier temps, mais aussi inviter nos amis efreien·nes à se poser des questions. Nous avons proposé de la documentation et des définitions car se connaître soi-même implique de se poser des questions au préalable« . C’est sur ces points que Camille a eu cœur d’instiguer l’événement, estimant que nous avons que très peu d’occasions de nous poser des questions sur nous-mêmes. « C’est pour moi une bonne réussite car les gens qui sont passés ont, je pense, compris ce que signifie d’être aromantique« , se félicite Camille.
Crever l’abcès sur l’aromantisme
Mais concrètement, comment les « aro » vivent leur quotidien dans une société très romantique ? « En tant qu’aromantique, j’ai l’impression qu’on me ment sans cesse ! Dans les films et séries, on nous parle d’amour qui rend aveugle, de papillons dans le ventre, de coup de foudre au premier regard… Tout ça me paraît tellement éloigné de ma propre perception des choses » nous confie Camille.
Des œuvres parlant ouvertement d’aromantisme existent pourtant. « J’ai entendu parler de Loveless d’Alice Oseman mais je ne l’ai pas encore lu personnellement. Concernant les musiques, Never Been in Love de Will Jay est un hymne à l’aromantisme, et Soulmate de Lizzo parle de l’amour de soi-même avant celui des autres. »
Quand il s’agit d’expériences sociales, Camille peut parfois se sentir à l’écart. « Pour l’instant, je ne connais qu’une personne aromantique de l’Efrei, mais je ne vais pas voir des gens et leur demander ça« .
L’inverse est cependant plus fréquent. « J’ai vécu de nombreux moments avec des personnes qui ne comprennent pas la définition de l’aromantisme. Je suis jamais sûre s’ils essayent de flirter ou si c’est juste de la sympathie. Quand j’essaye de leur expliquer que je ne ressens pas d’attirance pour eux, ils peuvent le prendre mal en ne comprenant pas ce qui me définit. Ça se sentait qu’ils ne croyaient pas en ce que je leur racontait. Heureusement, je n’ai pas vécu de moment où certaines limites auraient été franchies.«
Prendre le temps de comprendre l’autre
Malgré l’Aromantic Awareness Spectrum Week, de nombreux préjugés persistent, en dépit aussi du bon-vouloir des personnes aromantiques de leur expliquer ce qu’elles ressentent. « Les gens essayent de rationaliser, disant que je suis trop jeune, que c’est parce-que je n’ai pas connu l’amour, ou tout simplement que c’est pas possible que je n’aie pas de sentiment amoureux car c’est humain. Mais c’est faux, nous sommes humains. C’est un type d’attirance comme un autre qui n’a rien à voir avec nos rapports sociaux. »
Camille insiste : une personne aromantique n’est pas une personne asexuelle. Le premier concerne l’absence de sentiment amoureux pour une personne tandis que l’autre désigne l’absence d’attirance sexuelle. Pas de bisous pour les uns, et pas de pan-pan pour les autres, en gros.
Il est tout à fait possible de sortir avec une personne aromantique. « L’absence de sentiment amoureux n’est pas un obstacle aux autres attirances, qu’elles soient sexuelle ou platonique. Mais il ne faut pas s’attendre à avoir un amour réciproque avec quelqu’un d’aro« .
C’est aussi un aspect qui se retrouve dans le drapeau même des personnes aromantiques. « Les deux teintes de vert représentent le spectre de l’aromantisme en tant que tel, le blanc représente les attirances platonique et esthétique dont l’amitié, et le gris et le noir représentent le spectre de la sexualité qui n’est en rien décorrélé de l’aromantisme« .
Camille, actuellement en M2 du Programme Grande École (PGE), s’envole vers le monde du travail dès l’année prochaine. « Nous avons prévu un calendrier avec les grandes dates des causes LGBTQI+ et féministes. J’espère que les prochains membres de Kanon pourront profiter de l’élan d’engouement pour notre asso et proposer toujours plus d’activités autour de ces dates. »
Aaah, le 14 février, célébration de nos chers Valentins à travers le monde mais aussi de la journée de l’amour, la Saint Valentin ❤️❤️❤️ Tandis que certains passaient cette journée en bonne compagnie, que ce soit avec leur bien-aimé ou avec les surveillants pour des partiels, d’autres ont interprété en ce jour Cupidon pour aider les plus timides souhaitant déclarer leur flamme à leur Valentin ou leur Valentine. Les quelques membres du BDE Aftermath ayant endossé ce rôle sacré ont pour ainsi dire fait battre nos cœurs
Le matin du lundi 14 février, les atomes du BDE Aftermath étaient en ébullition. Les membres se pressaient pour terminer d’écrire et d’imprimer la cinquantaine de lettres de Saint Valentin restantes, pour la plupart anonymes. Certaines assumaient d’être du troll, d’autres prenaient un aspect bien plus romantique. Ce sont 333 lettres et 300 roses qui ont été distribués en ce jour à des heureuses personnes, en témoignent les « rayaya » et diverses autres exclamations.
Ce n’est pas la première fois que le BDE distribue des roses pour la Saint Valentin, et ce ne sera pas la dernière. Cet événement 100% BDE a évidemment été préparé bien en avance. Bien que le concept rappelle celui de EAH et de la distribution des roses pour la Journée des Droits des Femmes, les deux associations se sont accordées pour ne pas avoir la même couleur de fleurs. Ce sont donc les roses blanches du BDE qui ont fait particulièrement plaisir à leurs destinataires.
Les membres du BDE à 9h lors des premières livraisons
Des lettres scellées à la cire pour la Saint Valentin
Un procédé qui semble-t-il fait particulièrement plaisir aux efreiens est le cachetage des enveloppes. Il valait mieux en profiter une fois l’envelope finie du fait de l’odeur désagréable de la cire chauffée embaumant le local. Une attention toute particulière mais systématique à toutes les lettres à laquelle s’ajoute les quelques demandes particulières comme une écriture faire main, des petits dessins « romantiques » ou des lettres en forme de cœur. Vous remarquerez peut-être, si vous avez reçu une enveloppe, un poinçon en forme de nœud, pour dire que cette lettre doit être accompagnée d’une des précieuses roses. Des petits détails qui ont participé à rendre la démarche victime de son succès.
La distribution, bien que très organisée, a connu quelques déboires quand des destinataires n’étaient pas présents ce jour ou quand leur salle n’était pas mentionnée. Dans ces cas, le BDE garde les lettres d’amour bien au chaud dans leur local, à venir récupérer par les anonymes pour tenter de conclure une bonne fois pour toutes à visage découvert. Ou bien les destinataires, à voir selon les disponibilités, mais pas trop tard pour que les roses ne se fanent pas.
Carla et Soazic se préparent à livrer les roses
Pour rappel, les élections du BDE se feront du 28 au 30 mars. Deux jours de folie pour lesquels il faudra être patient, mais BDE Aftermath a déjà prévu de quoi faire patienter.
EFREI Para organise régulièrement des weekends d’initiation au parachutisme. Florian Marques, loin d’avoir eu la meilleure expérience avec les hauteurs, a décidé de faire du parachutisme… Mais pas sans une initiation digne de ce nom.
Post-scriptum : Florian a depuis réalisé son premier saut en parachute
Le weekend du 3-4 octobre 2020 était, pour une dizaine d’efreiens, dédié au parachutisme. Efrei Para, grâce à son partenariat avec l’ASPU (Association Sportive de Parachutisme Universitaire), a réussi à préparer un weekend d’initiation au parachutisme entre deux confinements.
Florian Marques a connu EFREI Para lors du forum des associations, l’année dernière. Un étudiant pliait son parachute, et a attisé la curiosité de Florian. Celui-ci avait jusque-là seulement fait du saut à l’élastique.
N’ayant jamais pris l’avion (il est en alternance, il n’a donc pas fait l’immersion de L3), Florian avait quelques appréhensions du vide. Son saut à l’élastique qu’il avait fait deux ans auparavant, de son côté, était un peu effrayant. Le système était rafistolé au scotch : pas de quoi être vraiment rassuré. Heureusement, il n’a rien eu ; mais c’est grâce à cette expérience qu’il a su à quel point le saut en parachute était beaucoup + encadré que le saut à l’élastique.
Une grue m’avait tracté dans les hauteurs de Paris. J’avais vraiment très peur, donc une fois en haut j’avais fermé les yeux. Je me suis donc dit que je devais refaire une expérience similaire, et cette fois, avoir la chance de regarder le paysage qui m’entoure.
Florian Marques
Deux jours pour se préparer à toutes les éventualités
Le soir du vendredi 2 octobre, ces courageuses personnes se sont rejoints Porte de Pantin, au nord de Paris, pour partir à Maubeuge. Une fois arrivés à destination, c’était repos. Le samedi dans la matinée, il fallait être au taquet.
De 8h à 17h, les efreiens ont découvert les mécanismes du parachutisme, les choses à éviter, les procédures de secours et les joies de s’entraîner au grand saut dans un hangar.
On a simulé la sortie de l’avion et un déploiement de parachute. Si la voile n’était pas bien en place, on nous a appris à se sortir de cette situation et les procédures de secours si cet incident devait arriver.
Florian Marques
Pour son premier saut, Florian aura droit à un déploiement automatique de la voile grâce à une sangle attachée à l’avion. Aucun risque, donc, d’oublier de l’ouvrir (si jamais ça devait arriver !)
Le président de l’ASPU l’a bien mis à l’aise. Ses explications étaient claires, sa formation l’a bien préparé, et son équipe avait toujours les réponses à ses questions.
Le cours et les simulations ont été très rassurants. L’équipe est vraiment cool, et ça m’a permis de ne pas paniquer.
Florian Marques
Jamais deux annulations sans trois
Florian avait déjà prévu de sauter, en avril dernier. Malheureusement, le confinement est tombé. « Ça m’avait bien soûlé, je voulais vraiment y retourner » nous dit-il.
Après le weekend d’initiation, le weekend du 24-25 octobre devait marquer (enfin) son premier saut en parachute. Manque de chance, les conditions météorologiques n’assuraient pas la sécurité des sauteurs. Malheureusement, le confinement a fait son grand retour entre temps, et son saut devra de nouveau être repoussé.
Malgré tout, celui-ci se dit prêt à sauter, et n’a pas peur que la date fatidique soit repoussée. Il rassure : « Il ne faut pas avoir peur de sauter, car les problèmes arrivent généralement quand quelqu’un a un excès de confiance et fait n’importe-quoi. » Avis aux amateurs !
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