15 000 : c’est le nombre d’infractions à caractère raciste, xénophobe ou antireligieux recensées en France en 2023. Pourtant, seules 4 % des atteintes à caractère raciste donnent lieu à un dépôt de plainte. Afin de combattre ces actions discriminatoires la Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT (DILCRAH) a lancé en 2018 le prix Ilan Halimi, visant à récompenser les initiatives de jeunes de moins de 25 ans engagés dans la lutte contre les préjugés racistes et antisémites.
Ce prix honore la mémoire d’Ilan Halimi, jeune Franco-Marocain de confession juive enlevé, séquestré et torturé en 2006 par le gang des barbares en raison de sa religion. Ce prix a pour objectif de promouvoir diverses valeurs telles que la fraternité, l’ouverture à l’autre et principalement : la lutte contre les préjugés racistes et antisémite.
Critères et types de projets
Vous avez moins de 25 ans et souhaitez faire bouger les choses ? Ce prix est fait pour vous. Que vous soyez seul, en groupe ou membre d’une association étudiante, vous pouvez participer et proposer des projets variés comme : • Projets culturels : pièces de théâtre, concerts ou expositions.
• Initiatives sportives : tournois rassemblant des participants de tous horizons. • Idées numériques : applications ou plateformes pour promouvoir l’égalité et la tolérance. • Actions éducatives : ateliers, conférences ou campagnes dans les écoles. Ces exemples ne sont qu’un point de départ : laissez libre cours à votre imagination. Qu’il soit simple ou ambitieux, un projet qui a un réel impact peut faire toute la différence ! Un projet à la fois original par son idée et par ses participants est celui des lauréats du prix 2023 : des mineurs du centre pénitentiaire de Liancourt. Ils ont réalisé une exposition interactive visant à sensibiliser le public aux préjugés racistes et antisémites.
Opportunité pour la jeunesse
Ce prix est l’occasion pour les jeunes de gagner en visibilité pour leur projet et de s’affirmer pour leur carrière. Il permet de travailler de manières ludiques et intéressantes sur des thématiques actuelles et importantes tout en développant des
compétences utiles pour leur avenir : leadership, organisation, communication et très surement bien d’autres.
Les candidatures pour l’édition 2025 sont ouvertes jusqu’au 31 décembre 2024. Afin de participer il suffit de déposer sa candidature sur le site officiel de la dilcrah. Les finalistes auront ensuite l’opportunité de présenter leur projet à Paris en février 2025. Afin de construire une société plus juste, inclusive et sûre les jeunes représentent le fer de lance de cette mission.
Et si vous étiez les prochains lauréats du Prix Ilan Halimi ? Ne vous contentez pas d’en rêver : lancez-vous et engagez-vous.
Avant de débuter, il faut savoir que la pratique décrite dans cet article ne représente aucun peuple ni pays ni culture où elle est pratiquée. Les seuls fautifs sont les personnes qui pratiquent ces mutilations. Merci de ne pas faire d’amalgame.
Ce mardi 6 février marque la journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines (MGF), une belle occasion pour en parler. Les MGF consistent en une opération des organes génitaux féminins, qui sont partiellement voire totalement blessés ou éliminés dans le processus, le but de cette opération est de réduire la libido féminine. Les exciseurs veulent ainsi assurer que les jeunes filles excisées n’auront pas de rapports sexuels avant le mariage et qu’elles ne commettront pas l’adultère après leurs mariages, il n’y a aucun but thérapeutique.
Il existe 4 types de mutilations génitales féminines :
Le type 1 aussi appelé la clitoridectomie qui est une excision partielle ou totale du clitoris
Le type 2 qui est une excision partielle ou totale du clitoris et des petites lèvres
Le type 3 qu’on appelle l’infibulation se caractérise par une excision plus étendues où les petites et grandes lèvres sont enlevées et les organes génitaux restants sont cousus ensemble, seul un petit espace est laissé pour laisser passer l’urine et les menstruations. La cicatrice provoquée par l’infibulation devra être ouverte à chaque rapport sexuel et avant l’accouchement, ce qui est très douloureux. Il s’agit de la forme la plus grave de MGF
Les MGF de type 4 sont toutes les autres procédures qui blessent ou excisent les organes génitaux féminins
Les origines des mutilations génitales féminines
Les mutilations génitales féminines, qu’on peut donc appeler excisions et qui sont plus connues par ce terme, sont apparues bien avant l’apparition du christianisme et de l’Islam, elles ne sont donc pas liées à ces religions. Des fouilles archéologiques ont permis de trouver des traces d’excisions sur des momies en Nubie (Egypte et Soudan), des chercheurs en sciences sociales ont pour théorie que les classes supérieures nubiennes pratiquaient l’excision et que cette pratique s’est répandue aux classes sociales plus basses afin que les filles puissent se marier avec des hommes d’une classe sociale plus haute.
L’excision est souvent pratiquée sur les jeunes filles de moins de 15 ans ou avant leur puberté. On estime à 200 millions le nombre de femmes ayant aujourd’hui été victimes de mutilation génitale dans le monde et ce sont au moins 4 millions de filles qui sont confrontées au risque de se faire exciser chaque année. En France 120 000 femmes adultes ont subi une excision au milieu des années 2010 et on recensait 62 000 femmes excisées vivant dans l’hexagone au milieu des années 2000. Au moins 530 000 femmes mutilées vivent en Europe, dont 1 sur 2 en France ou au Royaume-Uni.
L’excision est le plus souvent pratiquée en Afrique de l’Ouest, de l’Est, Centrale et en Egypte, en Asie on retrouve cette pratique principalement en Malaisie et en Indonésie. En Amérique elle n’est pas très fréquente, mais les victimes sont moins rares en Colombie et au Brésil.
Les risques et acteurs
Beaucoup de victimes d’excision trouvent la mort suite à des hémorragies qui ne s’arrêtent pas ou à des infections liées au matériel utilisé ou à des problèmes urinaires et/ou menstruels. Les femmes qui survivent ont souvent des complications lors de l’accouchement : saignements excessifs, déchirure du périnée ou encore des fistules obstétricales qui sont parmi les lésions les plus graves, dangereuses et risquées pouvant survenir lors d’un accouchement. Ces facteurs augmentent le risque de décès chez les nouveaux nés.
Il faut aussi savoir que les organes touchés par l’excision sont des zones innervées (remplies de nerfs) comme les testicules pour les hommes, cela a pour conséquence d’octroyer des douleurs intenses aux victimes, douleurs qui restent parfois toute la vie.
En Afrique de l’Ouest, les MGF sont souvent pratiquées par des femmes âgées ou par les femmes qui font accoucher leurs pairs dans leurs villages. Le Dr Mohamed Farid nous dit : “En Egypte, par exemple, 75 % des excisions ont été pratiquées par des professionnels de la santé en 2015, contre 24 % en 1951.”
De manière plus générale, l’excision peut être pratiquée par qui sait manier un objet tranchant : barbier, accoucheur traditionnel, sage-femme, infirmier, médecin, il arrive même que des herboristes se mettent à la tâche.
26 des 31 pays où les MGF sont les plus pratiquées ont déjà pris des mesures contre celles-ci, ces dites mesures ne sont probablement pas les plus efficaces, mais des actions sont prises. Cependant elles peuvent avoir pour conséquence de rendre ces pratiques encore plus clandestines qu’elles ne le sont déjà et donc : plus risquées
Les mesures juridiques permettent la condamnation des pratiquants et la protection judiciaire des victimes, mais ce dont les populations ont besoin sont des actions sociétales comme des campagnes de sensibilisation et d’information car beaucoup ne connaissent pas les risques et certains ne savent pas que ce genre de pratiques sont effectuées autour d’eux.
De notre côté, la meilleure chose à faire est de ne pas rester silencieux et d’être vigilants, la vigilance doit toucher tout le monde car même si la probabilité reste faible ici en France, il se peut que l’on ait un enfant risquant de se faire exciser dans notre entourage.
Pour plus de renseignements concernant l’excision, l’association excision parlons en a mis en ligne une grande quantité d’informations sur son site.
Après un court mais intense semestre, les L2 de la promotion 2027 du cycle ingénieur vont être absents pendant près d’un mois et demi.
Fin de semestre
Ce vendredi 22 décembre, l’ensemble des étudiants de L2 a fini le 3e semestre du cursus ingénieur après une importante semaine d’examens. Cette semaine qui comprenait 6 devoirs écrits, un oral et un cours lié au projet du module “Systèmes numériques”, en a fait voir de toutes les couleurs à l’ensemble de la promotion 2027.
Ces 5 jours riches en rebondissements après des DE “bien plus compliqués que ceux de la promotion 2026” selon un étudiant en L2, ont signé la concrétisation du travail fourni depuis le début des cours le 4 septembre. Désormais, les L2 vont pouvoir penser à autre chose qu’à l’école et reprendre leurs vies loin des éreintantes révisions.
Que les examens finaux aient été réussis ou non, les étudiants vont pouvoir prendre une “pause” de plus d’un mois et reprendre le 5 février 2024. Mais pourquoi une coupure aussi longue ?
Le stage commercial
En L1, les étudiants doivent effectuer un stage ouvrier durant les vacances estivales, ce stage a pour but de mettre les futurs ingénieurs en conditions de travail réelles afin qu’ils observent le monde du travail. En L2, l’objectif du stage et sa période changent.
Lors des amphis de rentrée, l’EFREI n’a pas perdu de temps et a préparé une session dédiée à la présentation du stage destiné aux ex-L1 fraîchement rentrés en L2 ou aux étudiants ayant redoublé la L2. Lors de cet amphi, le stage est présenté et deux choses ont changé : il a cette fois une visée commerciale et sera à effectuer entre le 23 décembre 2023 et le 4 février 2024.
Cette période de stage a plu à certains qui étaient contents d’avoir plus d’un mois de coupure scolaire et pourront consacrer leur été 2024 à autre chose qu’un stage. Elle en agace cependant d’autres qui voient leurs vacances d’hiver se faire avaler par un stage réputé impopulaire mais qui pourront réserver leurs vacances d’été à d’autres activités. Libre à chacun de penser ce qu’il veut.
La répétition du stage, transformé de “ouvrier” à “commercial”, fait que les étudiants ne doivent plus chercher un travail dans n’importe quel domaine, mais se concentrer sur le conseil ou la vente. Le type de poste le plus en vogue est probablement vendeur et l’entreprise la plus populaire est très certainement Darty. Il est arrivé à des personnes parties se renseigner pour un stage qu’un responsable demande si c’est pour le stage de L2 en école d’ingénieurs (histoire vraie). Il arrive aussi que l’on se retrouve avec certains de nos camarades dans le même magasin Darty sans qu’ils ne se soient concertés avant (histoire vraie aussi). Peu importe le poste ou l’endroit, le stage d’un mois est l’occasion de découvrir un métier que les étudiants n’effectueront peut-être plus jamais après avoir obtenu leur diplôme, il faut donc bien le choisir.
Bien que cette pause n’en soit une qu’à moitié, la promotion 2027 est soulagée d’avoir enfin pu terminer ce semestre et peut désormais se concentrer sur ce qu’elle souhaite : la détente pour certains, préparer le semestre suivant pour d’autres
Durant la semaine du 13 novembre, une rumeur selon laquelle les frais scolaires allaient augmenter titilla l’oreille du corps étudiant de l’Efrei. L’école a officiellement communiqué le 23 novembre sur cette augmentation dans un mail envoyé aux étudiants. Cette nouvelle a fait le tour de l’école et des foyers, ce qui a amené au désarroi de nombreux étudiants ayant exprimé leur incompréhension.
Note de ReName : Il y a eu un amalgame entre le montant de l’augmentation des frais scolaires annoncé sur notre site et celui de « +3000€ » publié sur certains posts LinkedIn dont nous ne sommes pas les auteurs. Nous avons publié les chiffres corrects, que vous pouvez consulter par vous-mêmes dans cet article. L’information selon laquelle nous avons partagé une augmentation gonflée pendant le conseil d’école qui a eu lieu le lundi 27 novembre est fausse. Nous regrettons que cette confusion ait eu lieu, nous faisons de notre mieux pour vous partager l’information la plus exacte possible
Note du rédacteur : cet article a été modifié le 27/11/2023 à 21h09 pour corriger des petites erreurs dans les pourcentages, ceux-ci ont été revus légèrement à la hausse
“Comment je vais faire ?”, “C’est pas possible, c’est une erreur !”, ont exprimé certains Efreiens lors de ces deux dernières semaines. Après avoir appris que les tarifs de l’Efrei avaient drastiquement augmenté, un mouvement de panique s’est déclenché chez certains Efreiens. Cette hausse impacte tous les cursus et ce, quelque-soit l’année en cours. Le tableau suivant résume l’augmentation pour le programme ingénieur.
Niveau
Tarifs 2023
Total avec frais d’inscription
Tarifs 2024
Total avec frais d’inscription
Différence
Hausse
L1
7000 €
8500 €
8000 €
9500 €
+ 1000 €
11,76%
L1 décalée
5000 €
6500 €
5500 €
7000 €
+ 500 €
7,69%
L2
8000 €
9500 €
9000 €
10 500 €
+ 1000 €
10,53%
L3
8000 €
9500 €
9000 €
10 500 €
+ 1000 €
10,53%
M1
8300 €
9800 €
10 000 €
11 500 €
+ 1700 €
17,35%
M2
8300 €
9800 €
10 000 €
11 500 €
+ 1700 €
17,35%
Tableau de l’augmentation des tarifs du programme généraliste
Même chose du côté des BTS, Bachelors et Mastères du programme Experts du Numérique (PEx)
Niveau
Tarifs 2023
Tarifs 2024
Différence
Hausse
BTS 1
6000 €
6500 €
+ 500 €
8,33%
BTS 2
6500 €
6500 €
Nulle
0%
Bachelor 1
7700 €
8500 €
+ 800 €
10,39%
Bachelor 2
8000 €
8500 €
+ 500 €
6,25%
Bachelor 3
8300 €
9500 €
+ 1200 €
14,46%
Mastère 1
9000 €
10 500 €
+ 1500 €
16,67%
Mastère 2
9000 €
10 500 €
+ 1500 €
16,67%
Tableau de l’augmentation des tarifs du programme d’experts du numérique
Cette hausse impacte toutes les promotions de manière significative. Selon nos calculs, les augmentations (frais d’inscription compris) sont ici répertoriées par année
L1 : passage de 8500 à 9500 € soit une différence de 1000 € donc une hausse de 11,76 %
L1 décalée : passage de 6500 à 7000 € soit une différence de 500 € donc une hausse de 7,69 %
L2 et L3 : passage de 9500 à 10 500 € soit une différence de 1000 € donc une hausse de 10,53 %
M1 et M2 : passage de 9800 à 11 500 € soit une différence de 1700 € donc une hausse de 17,35 %
Les années de M1 et M2 du programme d’ingénieurs généraliste ont la différence la plus élevée avec 1700 € ainsi que la hausse la plus importante : 17,35%. Dans le cas d’un étudiant entrant en L1 classique et faisant les cinq années prévues du programme ingénieur, il devra payer un surplus de 6400 € par rapport à 2022, en admettant que les prix ne changent pas durant toute sa scolarité. Cette somme représente environ deux tiers d’une année complète à rajouter au budget des études.
L’évolution des frais représente en moyenne 11,93% d’augmentation (toutes années et spécialisations comprises). Cette hausse ne saurait être justifiée par l’inflation seule car celle-ci est de 4% pour 2023 selon l’INSEE lors d’un comptage sur la hausse des prix à la consommation d’octobre 2023.
Le directeur général, Frédéric Meunier, a envoyé un mail à l’ensemble des promotions le mercredi 22 novembre afin de rassurer et d’expliquer pourquoi de telles augmentations ont eu lieu. Il évoque trois points importants :
Une trop faible réévaluation des frais annuels par rapport à l’inflation
Des charges en constante augmentation
Une hausse dans l’embauche de plus d’enseignants permanents
Un conseil d’école exceptionnel avec les délégués étudiants se tiendra le lundi 27 novembre en vue de discuter de ce sujet.
Des frais scolaires qui ont graduellement augmenté ces dernières années
Concernant les frais de scolarité, excepté pour la L3 en 2021, les tarifs n’ont cessé d’augmenter comme indiqué sur ce graphique.
La hausse des tarifs prévue pour 2024 est la plus importante depuis au moins 5 ans. Dès lors, les prix ont augmenté de 20,5% en moyenne sur le programme ingénieur (hors L1 décalée). Certains étudiants ayant budgété leur frais de scolarité sur 5 années, avec une marge de prudence prévoyant une somme plus élevée que les coûts prévus l’année de leur entrée à l’école, ont du mal à trouver l’argent pour contrer cette hausse d’au moins 500€ par an. Certains étant déjà endettés, il leur est compliqué de contracter un nouveau prêt dans une période où les taux d’intérêts sont à un niveau historiquement haut en raison de l’inflation.
Si l’on compare la hausse des tarifs de l’Efrei avec l’inflation des années précédentes, on voit que l’augmentation est assez proportionnelle depuis 2020, mais la hausse de 2024 est bien supérieure à l’inflation de l’année précédente.
Au-delà de la hausse des tarifs, des étudiants n’expliquent pas le prix des frais d’inscription, un paiement récurrent à chaque début d’année scolaire. Certains expriment leur volonté d’avoir davantage de transparence concernant ces tarifs qui n’ont cependant pas augmenté avec la hausse des frais scolaires. À la question de ce qu’il pense des frais d’inscription, un étudiant anonyme nous indique qu’il ne sait pas exactement à quoi ceux-ci servent mais suppose qu’ils ont pour but de payer diverses installations et à s’occuper de l’administration des dossiers. “Je ne pense pas qu’il soit légitime de payer 1500€ pour ça”, assène-t-il.
Une mobilisation contre la hausse se fait entendre auprès des étudiants
Les nouveaux tarifs ont été mis à jour sur la page officielle des frais de l’Efrei. Cette page a pendant un court instant été coupée, puis a été remise en ligne quelques jours plus tard
Après avoir eu vent de cette information, une partie des étudiants s’est mobilisée et certains ont décidé de lancer une pétition le mercredi 15 novembre pour se faire entendre. Celle-ci a pour objectif d’atteindre les 1000 signataires, parents et étudiants confondus. Elle en compte actuellement plus de 900.
Certains étudiants ont par ailleurs notifié que le site change.org a été bloqué sur le wifi de l’école par le pare-feu Fortinet. Impossible donc pour le moment d’accéder à ladite pétition depuis le réseau ECAMPUS_STUDENT, partagé par l’ensemble des étudiants du campus de Villejuif et des annexes parisiennes.
Pour tenter d’apaiser la situation, un conseil d’école a été organisé pour le lundi 27 novembre avec les délégués et les membres de l’administration de l’Efrei.
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