Le 4L Trophy, ce rallye humanitaire étudiant, en est à sa 23e édition. L’équipe 4L et Faons de l’Efrei a sorti sa plus belle Renault 4L de 1988 pour parcourir les 6500km de l’épreuve mondiale
Le 4L Trophy est un rallye humanitaire réservé aux étudiants de 18 à 28 ans. Depuis 23 ans, l’événement invite des milliers de vieilles bagnoles à parcourir des milliers de bornes dans un but solidaire. Cette édition 2020 relie Biarritz à Algeciras en Espagne, puis direction Merzouga dans le Maroc avant d’arriver à Marrakech.
Cette année, un seul équipage aux couleurs de l’Efrei parmi les 1065 autres. Louis Lefevre et Boris Lours Riou, en M2 IT for Finance, ont embarqué dans une Renault 4L Sinpar à 4 roues motrices (1988) et vont relever le défi. Les coéquipiers des 4L et Faons sont actuellement en route pour leur premier 4L Trophy de leurs vies.
Les deux coéquipiers se retrouvent aujourd’hui à Salamanque. Ils ont décidé de faire une étape entre Biarritz (ville de départ) et Algeciras, en Espagne, où ils prendront un ferry (le Tanger Med) direction le Maroc.
Un rallye avant tout humanitaire pour 4L et Faons
Une fois arrivés au Maroc, ceux-ci iront à Merzouga pour faire don de fournitures scolaires et sportives. L’association en bénéficiant sera les Enfants du désert. Ils ont pu récolter près de 650€ de dons et de fournitures sur une cagnotte Leetchi.
À l’issu de leur parcours, les deux efreiens rejoindront Marrakech pour une ultime soirée dans un hôtel de prestige. Le premier mars, ceux-ci se verront remettre leur prix lors d’une soirée avec leurs confrères de 4L.
C’est 6000 kilomètres de bonheur, d’aventure, de souvenirs et de péripéties. […] L’ENTRAIDE ! C’est une des valeurs essentielles du 4L Trophy !
L’équipe 4L et Faons
La course se veut avant tout solidaire, non seulement pour l’association qu’ils comptent soutenir, mais aussi entre coéquipiers. À titre d’exemple, au matin du jeudi 20 février, une durite de la Renault de l’équipe était cisaillée. Un mécanicien s’est alors déplacé au bord de l’autoroute pour leur réparer tout ça.
Il reste encore plus d’une semaine pour l’équipe avant d’atteindre son but : Marrakech. Ce challenge est pour eux que du bonheur. Par ailleurs, l’association 4L et Faons compte recruter de futurs trophistes « en quête d’aventure et de solidarité internationale » . N’hésitez pas à suivre leur aventure et à les soutenir sur leur Instagram : 4l.et.faons !
Pour rappel : L’alcool, également appelé éthanol, est une substance obtenue pas la fermentation de fruits pour le vin, du grain pour la bière ou encore de tubercules pour la vodka. La quantité d’alcool pur contenue dans une boisson alcoolisée est indiquée sur l’étiquette de la bouteille, en degrés (°) ou en pourcentage (%) pour 100 ml.
Plus le degré est élevé, plus la boisson est concentrée en alcool pur. Ainsi, pour une boisson à 12° ou 12%, 100 ml contiennent 12 ml d’alcool pur.
Après consommation, l’alcool passe rapidement dans le sang, par absorption au niveau de l’intestin grêle. La concentration d’alcool dans le sang est maximale au bout de 45 minutes si l’alcool est bu à jeun et au bout de 90 minutes s’il est pris au cours d’un repas. De là, il est transporté en quelques minutes dans tout l’organisme (notamment le cerveau).
L’alcool et son impact sur un étudiant français
En France, bien que notre consommation d’alcool tende à baisser, l’alcool aurait été responsable de 41 000 décès en 2017. Par « responsable », cela entend les maladies liées à l’alcool, mais également les accidents que cela entraîne (accidents de la route à cause d’un conducteur en face qui a trop bu, ou même de son propre pote qui conduit en état d’ivresse…). 3 victimes sur 4 sont des hommes.
Mais avant d’être un danger pour les autres ou pour soi, l’alcool est une tradition pour nous les français. Dans le pays du vin, quoi de plus naturel que de boire un coup entre ami ? Dès notre plus jeune âge, on nous incite à boire de l’alcool.
Que ça soit les parents, notre oncle ou même les amis, la pression sociale autour de l’alcool est partout. Même les pubs s’y sont mises ! Si vous avez été à Villejuif de novembre à décembre, vous aurez sûrement remarqué que 2 panneaux publicitaires sur 3 (oui j’ai vérifié) étaient consacrés à l’alcool. En tout cas si vous n’y avez pas fait attention, nul doute que votre cerveau lui y a pensé inconsciemment.
Une tradition chez les jeunes
La banalisation de l’alcool est telle que nous consacrons des jeux pour en boire en s’amusant (beer-pong, jeux de cartes etc…). On imagine difficilement une soirée sans alcool.
Une personne qui ne boit pas en soirée est souvent catégorisée de cassos, de personne qui ne profite pas de la vie. Comme si boire comme un trou et finir par terre était un signe de réussite.
Ce phénomène est surtout présent chez les hommes, qui ont besoin de se sentir « fort ». La résistance face à l’alcool est souvent une preuve de puissance. Si on tient bien l’alcool, alors on est plus viril. L’alcool entraîne une dépendance et une accoutumance, et souvent, bien tenir l’alcool n’a rien de viril, au contraire.
Alcool et boisson énergétique, le duo maléfique
De plus en plus de jeunes mélangent l’alcool avec des boissons énergisantes. Ces dernières ont pour conséquence d’augmenter la tension artérielle et son shoot de caféine atténue les sensations d’ivresse, ce qui entraîne une consommation encore plus importante d’alcool.
Les dangers liés à l’alcool étudiant
Une étude intéressante a été faite aux États-Unis pour mesurer les dangers causés par les drogues pour soi-même et pour les autres. Les résultats parlent d’eux-mêmes.
L’alcool légal, est-ce un choix cohérent ?
En France, l’alcool est légal à partir de 18 ans. Pourtant, une grande partie des gens en consomment bien avant cet âge. Nous sommes dans un pays ou l’alcool est légal malgré tout, alors que d’autres drogues, comme le cannabis, ne le sont pas (cherchez l’erreur).
Pourtant, les dangers liés à l’alcool sont connus depuis longtemps comme étant très dangereux. Cette illustration parue dans « Le Monde » en 2010 le met très bien en lumière.
Bien que l’alcool étudiant fasse partie de notre culture et que nous sommes régulièrement influencés d’en consommer, il est de bon conseil de se détacher de cette norme empoisonnante et de repenser notre façon de s’amuser sans mettre notre vie et celle des autres en dangers.
Lundi 27 janvier à 18h30, le co-créateur de VLC fait une conférence en Grand Amphi. Le service communication de l’Efrei a convié Jean-Baptiste Kempf pour la 2e MasterClass de l’Efrei. Une trentaine de personnes sont venues assister à l’événement.
Organisé par l’Efrei, cette rencontre avec le créateur du célèbre logiciel VLC a attiré plus d’une trentaine de curieux et curieuses au Grand Amphi. Jean-Baptiste Kempf, révélé au grand public lors d’un interview avec Konbini, a donné une conférence sur l’histoire du logiciel le plus téléchargé au monde. Sabri M’barki, le comédien de l’Efrei, a aussi été invité pour animer la 1ère MasterClass de l’année. Seb Andréa, quant à lui, était le photographe de la soirée.
Du haut de ses 36 ans, de son côté geek et de sa passion pour les poneys, Jean-Baptiste Kempf est un redoutable pionner dans le monde de l’open-source. Sa session, longue de 1h30, racontait l’incroyable histoire du projet VLC. Son co-créateur a su captiver l’audience du début jusqu’au moment des questions. Quelques personnes présentes en ont aussi profité pour aller à sa rencontre à la fin de la session.
L’histoire de VLC
Dans les années 60, l’école Centrale déménage à Clermont-Ferrand (dans le centre, petit jeu de mot) pour avoir plus de place. Ça n’a pas du tout plu aux anciens élèves de l’école. Ils achètent donc un terrain à Châtenay-Malabry dans les Hauts-de-Seine (92). Le campus est alors géré par les étudiants et des associations, dont le réseau interne.
La technologie de l’époque reposait sur le token ring : un utilisateur qui voulait envoyer un message le faisait par paquets en anneau. La latence était monstrueuse, et les jeux en FPS comme Doom en pâtissaient. Lorsque les étudiants ont demandé un meilleur réseau, l’école les a renvoyés vers ses partenaires. Ils se sont alors tournés vers Bouygues.
On aimerait bien vous aider pour le réseau… Mais allez voir nos partenaires car il nous appartient pas vraiment
L’admin du campus de Châtenay-Malabry à l’époque
L’entreprise voulait améliorer son service d’envoi d’images par satellite. Il leur fallait un réseau pour recevoir la télévision, grâce à du décodage en temps réel. Ils ont alors proposé Network 2000 (car tout ce qui avait 2000 dans son nom était cool à l’époque). Ils ont ainsi pu faire une démonstration avec pour résultat 2ms de latence. Un exploit, avec un ordinateur sous Linux n’ayant presque rien en RAM. Ils ont alors pu upgrade leur réseau, mais l’équipe derrière le projet a souhaité le poursuivre pour le grand public.
Pourquoi VLC existe ?
En 2001, VLC ou VideoLan Client, devient officiellement open-source. C’est dans un contexte de codecs propriétaires et de diffusion multimédia à réinventer que le logiciel est créé. Son principal concurrent, Windows Media Player, ne fournit que très peu de codecs et les autres sont payants et non libres. VLC, et son co-fondateur Jean-Baptiste Kempf, avaient pour ambition de changer le jeu.
Vint alors l’occasion de faire le logo du logiciel, un cône orange venu d’un délire étudiant récurrent. C’était aussi l’occasion de se démarquer des autres services (bouton play, pellicule de film, note de musique…).
Le programme promet d’être multi-plateforme (Mac, Windows, Linux, Android, Symbian… Et même OS/2) et multi-codecs. Dans une période d’avènement du piratage (eMule, LimeWire, Napster…), un lecteur multimédia universel était le bienvenu.
De l’open-source pour le premier logiciel mondial
Bien que ce ne soit plus le cas aujourd’hui, faire son logiciel en open-source était bien coté. Rendre le code source accessible au public a permis à VLC de devenir le logiciel le plus téléchargé du monde. Jean-Baptiste Kempf annonce les chiffres affolants de 1 million de téléchargements quotidiens pour 3,2 milliards de téléchargements sur son site.
Son développement, bénévole, s’est fait grâce à 800 contributeurs, dont 150 par année. 10 personnes sont au cœur du projet. Il y a 10 ans, cette association créée pour améliorer les connexions réseau entre joueurs en est à près de 15 millions de lignes de code, dont 1 million sans ses bibliothèques. Toutefois, le projet reste un « wrapper autour d’un framework » . Si on le compare avec Linux (30 millions de lignes de code), VLC reste humble.
Vous pouvez tous faire un OS. Linus Torvalds, créateur de Linux, l’a fait en 5 ans. On peut tous en faire un, aussi petit soit-il.
Jean-Baptiste Kempf à propos du nombre de lignes de code de VLC
libVLC, la librairie derrière VLC créée en 2001, a été portée en l’espace de 2 mois sur MacOS et Windows. Les fondations du projet sont elles aussi en open-source. Les contributeurs communiquent en chat IRC, utilisent PHP BB pour le forum et partagent leur code avec GitLab.
VLC, le logiciel le plus complet au monde
Jean-Baptiste Kempf se vante d’être à la tête d’un projet codé en « C– » . La plupart des structures du projet sont anonymes, et l’héritage est utilisé à foison. La raison : dans les années 98, le C++ étant effroyablement lent, séparer le corps du reste du code était une solution d’optimisation. « La compilation ne se fait que sur un module et pas sur l’ensemble » , nous affirme-il.
VLC étant basé sur la disponibilité réseau, il a parfois des « fonctionnalités débiles » . On peut commencer par la fonctionnalité Remote desktop. « À quoi ça sert ? À rien » , nous dit avec autodérision le maître de conférence. Tout comme l’option mosaïque qui montre simultanément 20 flux vidéos, le support du karaoké (très prisé au Japon), le MIDI… On peut même voir une vidéo en ASCII art, grâce à la libCaca. Le logiciel est aussi compatible avec l’Apple Watch, « mais c’est inutile car il n’a pas le droit d’être dans l’App Store ».
La version 3.0, dernière en date
La dernière version, la 3.0, a bénéficié d’une énorme refonte. « C’est une update importante, ayant pour principal but l’unification mobile/desktop » . Elle représente environ 18.000 commits sur le GitLab officiel.
L’une des principales difficultés était le rendu de texte pour les sous titres. Par exemple, le Malayalam, de l’état du Kerala, consiste en la fusion de deux caractères. D’autres langues, notamment l’arabe, se lisent de droite à gauche, ce qui ajoute de la complexité aux sous-titres.
L’une des petites anecdotes est celle de Salah, un contributeur vivant à Alep Est, ayant 2h d’internet et d’électricité par jour. « J’aimerais contribuer car je me fais chier » , dit-il à la team. Il a été accepté, et 6 mois après aucun signe de vie, il envoie un patch pour le rendu en arabe. « Le code est crado, mais ça se nettoie » .
Content du résultat, Jean-Baptiste Kempf lui propose alors l’hébreu, une autre langue bidirectionnelle. Il réalise son erreur : « je demande ça à un mec en train de se faire bombarder en Syrie » , mais celui-ci accepte. Finalement, très content de son travail, l’équipe lui demande ce qu’il voudrait. Celui-ci répond simplement : « J’aimerais un mail en @videolan.org » .
Le futur de VLC
VideoLan concentre aujourd’hui ses efforts sur la version 4.0, voulant refaire l’intégralité du logiciel en interne et en externe. Quelqu’un du public, face à une capture d’écran du futur logiciel, s’exclame : « C’est ARCHI beau » .
L’équipe travaille aussi sur de nombreux projets, comme le lancer dans un navigateur avec VLC.js grâce au projet Web Assembly. « C’est lent, mais ça marche » . Il est aussi question de sandboxer chaque couche de VLC pour éviter les failles, ce qui n’est pas simple car VLC a besoin de nombreux éléments d’action. Un projet ayant réalisé ça est Chromium, qui compte énormément de modules.
Mais pour ce qui est de la rémunération, VLC étant à but non lucratif, l’équipe a adopté un modèle B2B. Par exemple, Free a financé le port du moteur sur leur box, et YouTube a pu collaborer avec eux sur le développement de codecs.
VLC est un projet open-source, c’est pourquoi n’importe-qui peut travailler dessus. Que ce soit pour la traduction (même pour le Corse !), pour les modules ou pour les ports sur mobile, c’est une immense équipe qui est derrière le projet.
Jean-Baptiste Kempf veut rassurer, dans le monde du travail, n’importe-qui a ses chances. C’est la théorie des avantages comparatifs : personne ne sait rien faire. Avec plus d’un million d’étudiants sur le marché, « personne ne vous attendra » . Pour lui, aucun projet, aucune start-up n’a de succès avec la chance. Seul le travail porte ses fruits.
La pratique d’une activité sportive pour un adulte et encore plus pour un étudiant est essentielle à un style de vie équilibré tant bien au point de vue physique que mental.Nous allons ainsi évoquer quelques bienfaits d’une activité physique chez l’étudiant.
Le sport comme loisir mais également comme maintien d’une bonne hygiène de vie
Le passage du lycée à la vie étudiante peut être compliqué à gérer pour bon nombre d’étudiants tant le nombre de changements dans les responsabilités grandit de plus en plus.
Le sport étudiant pratiqué comme un loisir pour certains d’entre eux ou en compétition pour d’autres, reste pour la plupart un moyen de s’amuser et ainsi de s’échapper pendant quelque temps de la réalité. L’activité physique permet de lutter contre le stress et l’anxiété que les étudiants subissent au quotidien avec leurs études mais aussi contre les maladies notamment cardiovasculaires.
La mise en place d’associations sportives étudiantes comme le Bureau des Sports (BDS) à l’EFREI, Hock’Efrei mais encore Efrei Sport Climbing et bien d’autres permet à ces étudiants de découvrir de nouveaux sports et activités de façon plus accessible et partager des moments forts avec ses camarades étudiants également.
Il est également bon pour l’étudiant de faire du sport dans la mesure où le dépassement de soi et l’intégration sociale, quel que soit le type de sport pratiqué, sont des valeurs qui seront importantes dans sa future vie professionnelle.
Avoir une activité physique lutte contre la sédentarité et bienfaits sur l’appareil cardiovasculaire
Les médecins de par les différentes études réalisées sur la dépense énergétique conseillent une activité physique régulière de 30 minutes minimum de marche par jour au moins 5 fois par semaine.
Cette recommandation veut contrer la tendance actuelle de la société qui voit une augmentation du pourcentage de la population se sédentarisant.
Au fur et à mesure que les nouvelles technologies se développent, on observe que les nouvelles générations se déplacent de moins en moins et adoptent de nombreux comportements physiquement passifs : travail sur l’ordinateur, jouer aux jeux vidéo, regarder la télévision et se balader sur les réseaux sociaux.
Le temps passé devant les écrans devient désormais très important dans la journée et la vie des jeunes adultes. C’est pour cela que l’activité physique est un bon moyen de contrer ces habitudes qui tendent à se transformer en addiction chez certains étudiants.
Au niveau physique, le sport permet entre autres de faire travailler le métabolisme avec ses muscles (volume, force, puissance…), permet de prévenir certaines dégénérescences cellulaires et tissulaires et augmente les capacités cardiaques et respiratoire de l’adulte ce qui, à long terme, entraîne une augmentation de l’espérance de vie du sportif.
En conclusion, bien que l’activité physique semble nécessaire au bien-être physique et mental d’un étudiant et lui permet d’entretenir son organisme en conservant une bonne hygiène de vie, il est néanmoins conseillé d’associer cette activité à une dose de sommeil correcte et une alimentation équilibrée et variée pour bénéficier des avantages de la pratique sportive.
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