Vous rappelez-vous de ce mur au sein du campus principal d’Efrei Paris, sur lequel figuraient des mots stylisés ? Cette œuvre de street art n’est désormais plus, et jusque-là nous ne savions pas nécessairement ce que voulaient dire ces mots. Anne Edvire, Chief Happiness Officer (CHO) de l’Efrei, accompagnée de son équipe Bien Vivre Ensemble, ont voulu lui redonner sens.
Saviez-vous que les valeurs de l’Efrei ont été peintes, il y a 10 ans, sur un mur où figure désormais le tout nouveau Innovation Lab ? Ces valeurs, au nombre de 6, ont été inscrites au graffiti afin de représenter graphiquement la philosophie efreienne. Ces valeurs sont « Exigence, Audace, Agilité, Créativité, Solidarité, Proximité » .
Au-delà de l’aspect purement visuel qui leur ont été attribuées, ces valeurs ont souvent été oubliées, et la démolition de ce mur était plus que symbolique. Il était donc question de redonner sens à ces 6 valeurs.
L’équipe Bien Vivre Ensemble, chargée de promouvoir et faire vivre ces valeurs
Anne Edvire, CHO de l’équipe administrative de l’Efrei, a fait appel à des personnes de tous horizons. Équipe enseignante, membres de l’administration, intervenants et élèves ont travaillé conjointement pour redonner un sens au « mur des valeurs » , parti en même temps que l’ancienne pelouse.
Présentée lors des amphis d’information des promotions, cette charte de valeurs a été travaillée par l’équipe Bien Vivre Ensemble. Elle a pour ambition de ne pas concerner seulement les étudiant·es, mais aussi toute personne présente sur le campus. Ce projet lancé discrètement en février 2020 en est aujourd’hui à son aboutissement, grâce à son illustration par Cécile Magot. Elle se nomme fièrement « Affirmons le droit à la différence » , une manière de solidariser toutes les personnes présentes sur le campus.
Voici comment l’auteur de ces lignes se représente les valeurs de l’école, à vous de réagir et proposer votre propre interprétation :
Solidarité
Dans un campus où chaque personne est différent·e, la solidarité est de mise. Nos rapports, de plus en plus interdépendants, impliquent qu’il faut savoir se montrer solidaire envers son prochain pour soi-même s’élever. Cette solidarité se manifeste en proposant son aide aux personnes en difficulté quand cette aide ne nous met pas soi-même en difficulté. C’est aussi en intégrant que chaque personne vivant sur ce campus en est un représentant, qu’il apparaît important de respecter l’image de son école à tout moment, afin d’être solidaire envers ses (futurs) camarades/collègues.
Exigence
L’exigence passe notamment par le respect d’autrui, en étant assidu·e, et ponctuel·le aux cours/réunions, mais aussi en ne jetant pas des déchets par terre, en évitant de faire du bruit… En un sens, favoriser la collaboration et l’apprentissage.
Proximité
Tout comme nos relations, ces valeurs sont interdépendantes. La proximité passe par la solidarité et l’exigence. Ainsi, il faut savoir se rapprocher de son entourage en se rendant disponible, en leur offrant son écoute, en apportant des solutions au plus proche des besoins, et en s’adaptant à toute situation, afin de favoriser nos rapports.
Créativité
Pour être professionnel·le tout terrain, il faut savoir faire preuve de proximité et de créativité. Les obstacles ne sont que des défis, et de nouvelles solutions peuvent être apportées à chaque problème. Il faut aussi savoir créer par soi-même en évitant le plagiat, tout en restant à proximité du terrain et en s’adaptant au travail déjà accompli.
Agilité
Être créatif·ve c’est aussi savoir faire preuve d’agilité. Il est normal et acceptable de faire des erreurs, car c’est ce qui nous permet d’aller plus loin. Il faut aussi en tirer les enseignements afin de progresser mutuellement ; que ce soit une erreur de notre part ou celle de quelqu’un d’autre.
Audace
Vient la dernière valeur qui n’est pas des moindres : l’audace. Il est nécessaire, afin de permettre à soi-même et à autrui de progresser, de prendre des initiatives pour le bien commun. Mais ces initiatives se manifestent aussi en aidant les personnes vulnérables face à un danger, afin de refuser la violence d’autrui. C’est aussi avoir l’audace de ne pas rejeter la faute sur les autres pour le bien commun.
Avoir des valeurs est primordial quand on veut être proactif·ve dans la vie. Les 6 valeurs de l’équipe Bien Vivre Ensemble ont le mérite de proposer des valeurs travaillées avec des personnes de tous les horizons du campus.
Ainsi, vous pouvez partager votre adhésion à ces valeurs en les partageant sur vos réseaux sociaux (notamment LinkedIn) et vous engager à les respecter dans vos décisions professionnelles. C’est en acceptant les différences entre chaque personne d’Efrei Paris que nous pourrons aller plus loin.
En tant qu’étudiant.e à Efrei Paris, tu as droit à de nombreux services à prix réduits ou même gratuits. Nous avons voulu te présenter un éventail de ce à quoi tu peux avoir accès, tout au long d’une série d’articles. OneDrive, le cloud à la sauce Microsoft, offre 1To de stockage aux membres d’une école, et breaking news : c’est notre cas !
Oui, oui, tu as bien lu ! En plus d’avoir une adresse mail finissant par @efrei.net, tu bénéficies d’un téra-octet de stockage en ligne, le fameux cloud, grâce à OneDrive. 1000Go, c’est plus que 100 clés USB réunies !
L’offre Office 365, maintenant Microsoft 365, permet aux écoles de faire bénéficier de ce stockage en ligne au travers de son offre OneDrive. Ainsi, tu peux utiliser ce stockage pour sauvegarder tes cours et tes notes et y accéder depuis n’importe-quel appareil. Très pratique pour celles et ceux qui révisent jusqu’à la dernière minute sur leurs téléphones !
En plus de fournir un accès à tes fichiers depuis partout, l’application OneDrive permet de facilement et qualitativement scanner des documents en utilisant la caméra. Plus simple quand une imprimante n’est pas à disposition.
L’intégration avec les applications Office permettent de facilement collaborer sur un document, à condition que celui-ci soit placé dans le stockage OneDrive. Pas de question à se poser, sachant que l’application de bureau permet d’accéder à tous ses fichiers sur son PC. Cet outil est préinstallé sur Windows 10, disponible sur Mac mais pas disponible sur Linux malheureusement.
Enfin, avec un stockage aussi large, il devient plus facile d’uploader des séries acquéries (presque) légalement sur son ordinateur, et les regarder hors ligne sur son téléphone dans la ligne 7.
En bref, OneDrive permet de réaliser beaucoup plus dans la mobilité des appareils. Attention quand-même aux GAFAM qui ont une fâcheuse tendance à drainer nos données. L’utile est de garder ce stockage pour les fichiers peu sensibles comme ses cours, ses notes et des séries.
En tant qu’étudiant.e à Efrei Paris, tu as droit à de nombreux services à prix réduits ou même gratuits. Nous avons voulu te présenter un éventail de ce à quoi tu peux avoir accès, tout au long d’une série d’articles. Cet article est dédié à JetBrains, une suite de logiciels de développement pour faciliter le codage.
Société de développement basée en République Tchèque, JetBrains est connue pour ses célèbres IDE (Integrated Development Environment, ou Environnement de Développement/EDI en français). Peut-être as-tu déjà touché au développement sur Android, donc à Android Studio. Ou alors PyCharm ou IntelliJ IDEA, des EDI pour Python et Java. Eh bien, ces logiciels sont développés par JetBrains, et tu peux y avoir accès gratuitement en étant étudiant.e.
Un EDI permet de faciliter le développement d’un logiciel ou d’une application. La suite JetBrains offre toute une variété d’environnements de développement pour faciliter ton codage. Java, C, C++, Python, Ruby, Javascript… tout y passe.
Adieu CodeBlocks, bonjour JetBrains
JetBrains ne fonctionne pas comme Visual Studio Code qui est extensible et permet donc de coder avec de nombreux langages en une seule app. Leurs EDI s’apparentent davantage à CodeBlocks ou NetBeans (mais en largement mieux). Chaque logiciel est donc spécialisé dans un langage.
Ainsi, tu pourras intégrer une base de données SQL à ton application Java, utiliser un framework de développement web en Python, développer en multi-platforme avec Kotlin, générer les constructeur, getters et setters et facilement formater ton code. Ils envoient même des stickers aux personnes qui en font la demande !
La licence inclus les produits suivants :
Android Studio, pour développer sur Android
PyCharm pro, pour développer en Python
IntelliJ IDEA, pour développer en Java
CLion, pour développer en C et C++
PhpStorm, pour développer en PHP
WebStorm, pour développer en Javascript
DataGrip, pour gérer ses bases de données
Rider, pour développer avec la technologie .NET
ReSharper, dotPeek, dotMemory, dotTrace, des outils en .NET
GoLand, pour développer en Go
MPS, pour développer son propre langage spécifique
RubyMine, pour développer en Ruby
Grâce à ta carte étudiante ISIC (la carte verte dans ton portefeuille qui n’est pas ta carte vitale), tu peux postuler pour bénéficier de la licence et accéder à leurs logiciels. Il suffit de remplir un formulaire pour y avoir accès, rien de bien compliqué.
Ils sont partis au Cameroun du 13 au 22 février. Ils racontent même avoir pleuré à la fin de leurs convois humanitaires, marqués par une expérience humaine commune. Nous avons rencontré trois membres de EAH, Efrei Aides Humanitaires, pour qu’ils racontent leur expérience au Sénégal.
Nota bene : ces articles sur les convois de EAH ont été présentés dans les projets des numéros 117 et 118.
Vincent Dairien et Emna Touihri sont partis au Cameroun. Le convoi humanitaire organisé par Efrei Aides Humanitaires (EAH) dans le pays longé par un fleuve s’est déroulé du 13 au 22 février. Leur objectif ? Apporter des ordinateurs fonctionnels à des collèges et des lycées, afin de réduire la fracture numérique.
Emna Touihri
Vous êtes partis où au Cameroun ?
On est allés dans un village du nom de Bayangam, dans l’ouest.
Quelle a été ta réaction quand on t’a annoncé que tu allais au Cameroun ?
J’étais très contente, c’est une nouvelle que j’attendais depuis longtemps !
C’est une expérience que je voulais vivre depuis des années, pas forcément avec EAH. En 2016 j’ai commencé mes recherches, mais en 2017 quand j’ai été prise, je n’ai pas pu y aller à cause de problèmes personnels. Quand j’ai été prise avec EAH, c’était comme un rêve qui s’est concrétisé.
Pourquoi le Cameroun et pas le Sénégal ?
J’ai pas forcément choisi le Cameroun, c’est plus le bureau qui a choisi pour moi. Mais pour moi, peu importe le pays dans le monde, c’est la même raison pour laquelle je candidate, de visiter un pays dont on ne parle pas et rendre un service qui représente beaucoup.
J’ai aidé à mettre en place les palettes, l’installation des OS. Par contre, pour l’envoi des palettes, je n’ai pas pu venir car je devais renouveler mon passeport. Mais j’ai été mise au courant de tout. Au total, on a pu ramener 26 ordinateurs, dont un qui ne marchait pas.
Vous les avez installés où ?
Dans un lycée technique, qui a des filières préparant les élèves directement au monde du travail. Il a presque 1000 élèves et une petite salle informatique d’ordinateurs sous Windows XP. Ils avaient 8Go de RAM et Windows 10. Ils étaient très, très contents et reconnaissants.
Comment sont les gens là-bas ?
Ils sont très chaleureux, bienveillants, et savent très bien s’exprimer.
Vous avez été accueillis ?
On était très bien accueillis et accompagnés. On a eu la chance de devenir amis avec le directeur de l’hôtel dans lequel on était. Emmanuel, un lycéen qui nous accompagnait, le connaissait. On a eu la chance de côtoyer et apprendre des gens locaux.
Vous avez pu voyager ?
On a travaillé du lundi au vendredi. Le weekend, le lycée est fermé donc on a pu visiter les alentours. Notre chauffeur et Emmanuel nous ont accompagnés. On a pu échanger et comprendre des choses sur la vie au Cameroun.
On a donc visité les grottes de Fovu, qui sont sacrées. On a visité une ville, Bafoussam, avec la chefferie du village. Chaque village a son chef, et on a pu le voir avec une de ses femmes. On a enfin vu les chutes de la Métché, liées au colonialisme français.
C’est pour ça qu’ils parlent français ?
Oui. Ils ont une culture francophone. Même leurs prénoms sonnent français, comme Damien, Emmanuel, Théo, Nestor, Apollinaire…
Vous avez donné des formations ?
C’était pas prévu, mais on est arrivés en période d’examens. Du coup, on a pu faire des formations pendant 2-3 jours, puis on a visité la maternelle, la primaire et un orphelinat. Même les directeurs n’ont pas d’ordinateurs. Ils font tout sur papier. On a amené des livres à la bibliothèque du lycée, des chouettes Efrei et des stylos aux élèves. Pour eux, c’est énorme.
On a fait des formations aux lycéens, pour le personnel sur le nouveau matériel, des activités avec les écoles et fait des dons pour un centre de soin. On a aussi donné des ballons de foot pour des équipes car là-bas, c’est toute une culture. Même les filles ont leur équipe !
Tu penses quoi de leur équipe féminine en comparaison avec la France qui a du mal avec le football féminin ?
Pour eux, le foot c’est sacré. C’est leur activité pendant la récréation, elles n’ont pas d’autre moyen pour jouer entre elles. Elles n’ont pas de téléphone ni internet pour se distraire.
Comment fonctionneront les PC alors ?
Le réseau fonctionne sous la 4G d’Orange, donc c’est impossible pour un lycée de payer ça. Ils ont 2300€ de budget par an, ce qui reste extrêmement faible pour 1000 étudiants. Leurs ateliers d’électronique et de menuiserie n’ont rien, si ce n’est un toit et 4 murs.
Tu penses que le Cameroun se développe à ce niveau ?
On ne peut pas juger car on était dans un village. Ils n’ont pas le concept des majuscules et minuscules sur un clavier, tandis que le monde avance avec l’intelligence artificielle. Il y a beaucoup d’écart, mais ils sont très motivés pour avancer.
Tu recommandes ce convoi ?
Oui. Ça nous permet de nous remettre en question, de découvrir l’autre, d’échanger et de se sentir utile. Ça permet de réduire l’écart entre nos deux mondes. C’est une expérience à faire au moins une fois dans la vie !
Vincent Dairien
C’était pas trop dur le retour ?
On est rentré ce lundi 24 (L’interview a été réalisé le 27 février 2020, ndlr.). Le voyage retour était un peu long, on a fait 6h de bus ce dimanche matin, on a pris l’avion à 23h, on est arrivé à 6h, on a repris l’avion à 14h pour arriver ici vers 18h.
C’était aussi épuisant votre semaine ?
Non. Le convoi était bien organisé, on avait juste le planning en tête. On avait des contacts sur place pour les logements et les transports. On a eu zéro souci, aucun sentiment d’insécurité.
Quelle était votre mission ?
On a ramené 26 PC dont un qui ne marchait pas (avec un écran), on en a donné un à notre contact sur place pour le remercier. Les 24 derniers on les a installés dans la salle qu’ils avaient préparés. Ils ont fait les tables et les multiprises eux-mêmes même si c’est pas très safe.
Pourquoi le Cameroun ?
Le pays m’intéressait, donc j’ai directement eu envie d’y aller. Le pays est très beau même si c’était la saison sèche et qu’il y avait un brouillard de sable constant. Mais le paysage, la nourriture, les gens, tout ça est super.
Vu qu’on était dans des terres reculées, on était plus en sécurité par rapport à Douala. Je suis parti avec Damien, le président d’EAH et Lou Gendron, qui sont dans ma promo.
Tu as aidé à préparer le voyage ?
Je me suis chargé de la préparation des PC, on s’y est pris bien en avance. La majorité d’entre eux viennent de l’Efrei, ce qui est assez rare car d’habitude on fait appel à des entreprises. On les a tous testés, la casse, l’humidité, des HDD sur lesquels on pouvait installer un OS (par exemple, certains PC avaient Mac installé dessus).
Comment sont les gens ?
Super accueillants, vraiment ravis de nous voir. Les enfants nous appelaient “les blancs”. C’était pas au point de nous gratter la peau comme au Sénégal, ils étaient un peu plus timides, mais restaient super chaleureux. La femme du chef, la directrice de l’orphelinat, le directeur du lycée, le gérant de l’hôtel, les enfants… Tout le monde était super accueillant ! Vu qu’on a apporté 4x leur budget annuel en PC, tout le monde venait nous aider, à démêler les fils, à apporter les tours…
Comment se sont passé les formations ?
Vu qu’on avait 13 claviers pour 24 ordis, il y avait 2, 3 voire 4 personnes par PC. Ils étaient tous très attentifs. Ils avaient aussi quelques vieilles machines avec les ports clavier et souris d’avant 2005.
Il y en avait donc certains qui avaient des notions, d’autres ne savaient pas utiliser une souris. On leur apprenait des raccourcis, comment écrire, les plus jeunes voulaient jouer sur Paint… Pour eux c’est important.
Pour toi, c’est un “convoi” ou un “voyage” humanitaire ?
La limite est assez floue dans notre cas. On fait un convoi humanitaire mais on a pu découvrir le pays et la culture. C’est aussi politique car pour eux, des étudiants français venus apporter leur aide, ils veulent que ça se renouvelle. Ce sera le cas.
Du coup, on a été invités chez le maire, on a eu des discours à faire, pour qu’on ait envie de revenir. D’autant plus qu’on est arrivés pendant la semaine des examens, on n’avait que le mardi pour faire les formations, sachant qu’on devait installer les PC lundi.
Que t’a apporté ce voyage ?
C’était très instructif, une très bonne expérience. On découvre le climat, l’environnement, la vie sur place. C’est un peu cliché de dire qu’ils ont rien et nous on donne tout, mais c’était un peu vrai. On prévoit déjà de revenir, car y aller une fois pour ne pas développer le reste, ça sert à rien.
C’est un de mes meilleurs voyages, une des meilleures expériences, et je sais que ça a eu un impact. Je suis en M2, je vais faire mon stage, et je compte faire un mois de mission solidaire à la fin.
On a un projet avec EAH, Planète Urgence, qui pourrait organiser une mission de un mois pour la SWIM. Pourquoi pas faire une mission en Asie Centrale ou en Amérique du Sud.
Est-ce que tu recommandes ce voyage malgré le fait qu’il t’ait énormément épuisé ?
C’est beaucoup d’organisation notamment car je suis du bureau et que je me suis occupé de la préparation, surtout en M2. Le voyage est fatiguant, mais on kiffe tellement qu’on s’en fiche.
Je le recommande fortement car ça fait ouvrir les yeux, on crée des liens. On était 5 au lieu de 8 car on a eu des soucis, mais au moins on était plus soudés. On a pu dîner avec la personne de Villejuif qui nous a aidé avec ce convoi.
Les conditions d’hygiène et de santé ne sont pas pareilles qu’en France. On doit faire des vaccins comme la méningite, la fièvre jaune, l’hépatite A et B, qui coûtent assez cher. Mais malgré tout, il faut le faire, c’est une expérience unique qu’on ne peut pas vivre en France.
En tant qu’étudiant.e à Efrei Paris, tu as droit à de nombreux services à prix réduits ou même gratuits. Nous avons voulu te présenter un éventail de ce à quoi tu peux avoir accès, tout au long d’une série d’articles. GitHub est devenu une, si ce n’est l’unique plateforme majeure pour les développeurs. C’est pourquoi être étudiant.e te permet d’avoir certains avantages.
107 offres. C’est ce que propose le pack GitHub Student Developer à tout étudiant demandant à en bénéficier. Une ribambelle d’offres qui méritent le détour.
À commencer par GitHub Pro, disponible tout au long de ta scolarité. L’offre, en plus d’insérer un tag « Pro » sur ton profil, permet d’augmenter la taille des packages et d’avoir plusieurs options en plus pour le développement. Bien que GitHub Free permet la majorité des cas d’usages, la version pro offerte n’est pas de refus.
De nombreux autres services sont aussi inclus dans le pack, comme Amazon Web Services Educate, qui propose 100$ de services cloud, de formations et de ressources. Les services cloud de Microsoft Azure sont également disponibles, pour une offre équivalente.
L’offre de JetBrainsest aussi accessible à partir de ce pack. Une autre manière de bénéficier de leurs superbes outils de développement.
Pour les plus créatifs.ves, 1 an d’abonnement à Canva Pro est inclus avec GitHub. Très pratique pour concevoir de belles publications, stories ou documents sur n’importe-quel appareil.
Les intéressé.es du développement web ne seront pas en reste, car les hébergeurs NameCheap, DigitalOcean et Name.com ont des offres avec le pack. Plus aucune excuse pour ne pas utiliser HTTPS sur son site !
Celles et ceux ayant du mal avec les git clone, git add -A ou git commit -m seront ravis, car GitKraken et GitHub Desktop sont disponibles pendant toute ta scolarité.
Les développeurs les plus hardcore pourront aussi essayer les services de MongoDB, Bootstrap Studio, Unity Pro, Kodika, Arduino, Dashlane, Algolia et bien d’autres. Pour découvrir tous les services que couvrent le Student Developer Pack de GitHub, et comment bénéficier de ces offres, rendez-vous sur la page dédiée !
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